1. Réconfort et vieilles dentelles VIII. Martine (ou la coquine qui cachait bien son jeu) (1)


    Datte: 10/12/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... penches en avant maintenant, et tu te cambres bien.
    
    Je me levai, m’approchai, et debout, je me penchai et commençai à la fesser d’une main leste et alerte, à un rythme soutenu.
    
    Elle poussait des petits cris retenus.
    
    Je maintins la cadence, m’attelant à bien couvrir toute la surface de ce beau fessier de femme mûre qui m’était si généreusement offert.
    
    — Ah c’est bien. C’est beau une femme qui s’offre ainsi. Et qui aime être punie. Ça te plaît, hein, Martine ?
    
    — Oui… j’aime ça… J’aime que tu me domines !
    
    — Alors c’est parfait. On va bien s’entendre tous les deux.
    
    Je la fessai de plus belle, augmentant l’intensité de mes claques, sa chair résonnait de beaux sons comme j’aime, et rosissait, puis rougit rapidement à vue d’œil.
    
    Ses cris se faisaient plus intenses, mais toujours brefs, et son bassin ne bougeait pas d’un poil (sinon sous l’impact des claques) ; en tout cas elle ne cherchait pas à se soustraire à ce châtiment que manifestement elle semblait bien apprécier.
    
    La claquée dura trois ou quatre bonnes minutes. Ses fesses devaient la cuire, et je commençais à avoir mal aux mains. Ah, elle encaissait bien la bougresse !
    
    Je finis par cesser mais lui ordonnai de bien rester en place. Elle comprit que je m’étais mis à genoux derrière elle car je commençais à jouer avec le plug toujours en place.
    
    — Je vais te retirer ton plug, Martine. Mais tu devines bien que je ne vais pas laisser la place vide. Hummm, tu dois être bien ouverte, ...
    ... maintenant...
    
    Je laissai exprès un silence, puis annonçai solennellement :
    
    — Je vais te sodomiser, Martine.
    
    Elle ne réagit pas, ne protesta pas, m’encourageant à continuer ce que j’avais entrepris : je sortis ma queue qui était dure et arquée comme jamais, pris une capote lubrifiée que j’avais toujours dans mon blouson et l’enfilai, je tirai doucement sur le plug, l’enlevai ; son petit trou restait ouvert comme une petite bouche. La nature a horreur du vide, je l’ai appris en physique :
    
    aussi je pris ma pine et enfonçai lentement le gland dans son trou du cul. Elle se mit à gémir. Je m’enfonçai lentement en elle et elle poussa des cris de satisfactions et émit des encouragements.
    
    Je me retrouvai collé contre son pubis, bien à fond en elle, elle avait l’air d’apprécier, la tante.
    
    Je plaquai mes mains sur ses seins bien pleins, et j’entamai mes va-et-vient. Son conduit était chaud et souple et n’opposait aucune résistance à mes mouvements de piston.
    
    Je finis par me mettre accroupi et à lui larder le cul à grands coups de reins souples. Ses cris montèrent, mêlés d’ahanements, de jurons, d’onomatopées : pas de doute, elle aimait se faire défoncer le cul !
    
    Elle m’avait trop excité, je ne pus me retenir bien longtemps : après quelques coups de pine amples et puissants, je partis en beuglant : « - Ah tu me fais jouiiiiir… ! »
    
    Elle-même avait déjà pris son pied, manifestement.
    
    Nous restâmes un moment emboîtés, enlacés, et je la gratifiai encore d’une longue pelle ...
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