NSFY (Not Safe For You) (1)
Datte: 06/12/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: domindoe, Source: Xstory
... Viens, suis-moi ! me chuchota-t-elle.
Je tournai la tête pour dégager ma bouche et lui faire face.
— Ça suffit comme ça, tu t’es assez joué de moi. Et puis... tu as quel âge ? soufflai-je.
— Suis-moi, tu comprendras.
Elle prit ma main droite et m’entraîna à sa suite. Elle se jeta sur le lit et m’attira à elle. Elle entreprit aussitôt de me déshabiller. Il n’y avait aucun doute, la femme devant moi n’avait pas loin de cinquante ans, un peu moins peut-être, je n’étais pas expert. Les années ne lui avaient pas enlevé son attirante séduction, la proximité de son corps ne dégageait pas moins de magnétisme. Je ne veux pas m’étendre sur sa description physique plus que je ne l’ai déjà fait, au final le physique est comme le vent, ce sont les effets que l’on constate.
— Je te dois des excuses. Non seulement des excuses, mais des actes de contrition.
— Des explications.
— Oui, mais plus tard. Pour l’instant, baise-moi. Baise-moi, fort. Sois sauvage ! Comment te le dire ? Laisse-toi aller, voilà c’est le mieux : laisse-toi aller.
Je ne comprenais toujours pas. Quel jeu jouait-elle ? Allait-elle me refaire les mêmes entourloupes, disparaître du bain, jouir du bout des lèvres et me repousser ? J’étais excité. Excité et en colère. Excité par ma colère. Décidé à ne pas lui faire de cadeaux.
— C’est ce que je cherche, dit-elle en soufflant à mon oreille comme si elle lisait mes pensées, c’est ce que je veux, aucun cadeau. Fais-moi mal, finit-elle en serrant ses ...
... bras autour de mon cou.
Elle était en moi, c’en était trop. Elle ne pouvait vouloir régenter mes désirs. Pourtant elle en était manifestement la maîtresse des horloges. Je l’embrochai. Cet empalement lui fit projeter la tête en arrière et cambrer les reins vers mon ventre comme pour en prolonger la puissance et en intensifier la douleur. Elle se raidit. Son fourreau se resserra autour de mon membre. Ses cuisses étreignirent mes reins tandis que ses jambes s’entrelaçaient sur mes fesses. Elle se trémoussa dans une cadence de sabbat pour me signifier son rythme. Je l’avais harponnée et solidement, je ne lui laisserais rien m’imposer. Je doublais l’intensité. Elle eut un rictus et suivit la mise. Je lui en voulais toujours autant, je ne lui pardonnerais rien tant qu’elle n’aurait pas joui en souffrant.
Je trouvai un morceau d’étoffe que je lui enfournai dans la gueule pour lui éviter tout hurlement, quelle qu’en soit la raison. J’enfonçai mes doigts dans la chair molle de ses seins et les pressai avec les serres d’un oiseau de proie. Les yeux de la rousse se remplirent de larmes, je lui faisais mal, mais aucun son ne mourait dans le tissu enfoncé dans sa bouche, aucun mouvement de tête ne me déniait le droit de la dépecer. J’écrasai plus fort, j’enfonçai plus profondément mes serres de rapace, je secouai la chair tendre. Les reins s’agitaient, plus fort. Les cuisses sur mes reins me serraient, plus intenses. Les jambes sur mes fesses me pressaient, plus violentes. Je la ...