1. L'artiste peintre et son modèle


    Datte: 02/12/2022, Catégories: fh, fplusag, rousseurs, grossexe, poilu(e)s, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, Humour occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... il la prit par les chevilles, les écarta, visa et l’enfila. Jusqu’à la garde, d’un coup sec.
    
    Elle piailla un bon coup, submergée par l’envahissement massif qui comblait enfin l’insupportable vide. Deux sexes avides l’un de l’autre se mélangèrent avec ardeur avec clapotis aqueux et chocs de peaux. Fouillée, écartelée et chahutée sur le canapé, Mylène répondait de son cul du mieux qu’elle pouvait dans cette position, histoire de montrer à son amant qu’elle n’avait rien à envier aux jeunettes qui l’avaient précédée. Mais l’homme se régalait, de son visage tantôt extasié, tantôt douloureux, de ses seins houleux, de son abdomen mouvant, de ses pieds qui cherchaient à le verrouiller en elle, de ses jappements et de ses objurgations à ce qu’il dure.
    
    Le canapé offrait de multiples possibilités. Un coup il l’allongea, lui mettant un pied sur le dossier et lui assénant de vigoureux coups de queue qu’elle accompagna en lui pétrissant les fesses, ce qu’il adorait. Un coup il la mit à genoux face au dossier pour la pénétrer en levrette, ses mains sur les hanches, puis lui lécher longuement l’anus ce qu’elle interpréta, à juste titre, comme un prélude à la sodomie. Elle n’y mit aucun obstacle, car l’essentiel pour elle était de toujours sentir sa queue en elle et il sut la préparer suffisamment pour que sa pénétration anale ne rencontre pas d’obstacle majeur. Son compagnon ne serait jamais venu à l’idée de l’enculer et elle vécut cet envahissement comme une preuve tangible de désir ...
    ... qui se traduisit par un puissant orgasme, le troisième depuis le début de leurs ébats. Il aimait son cul et le lui dit en le fouillant, retenant son sperme avec difficulté tant elle s’agitait de la croupe. Un coup pareil méritait de l’endurance.
    
    Il se retira en même temps qu’il arrachait sa capote et lui offrit son gland à sucer. Il y avait beau temps qu’elle en rêvait, à force de l’avoir vu se balancer sous le chevalet. Elle l’engloutit avec voracité en lui pétrissant les couilles au point qu’il gémit de douleur. Puis elle prit les choses en main en le forçant à s’asseoir sur le canapé. Elle voulait « le baiser ». Positionnée sur lui, elle guida son pénis vers son antre et se mit à cavaler comme une folle, allongeant la pénétration en se relevant très haut et en se laissant tomber sèchement, ses nichons dans le nez du peintre qui s’en gavait. Elle perdit alors complètement les pédales et se mit à le bombarder d’onomatopées, d’interjections et de quelques mots crus étonnants dans cette bouche distinguée :
    
    — Ah, qu’elle est bonne ta bite ! Ah, je la sens bien ! Ah, je jouis ! Gicle ! Gicle en moi !
    
    Et le peintre, au bout du bout, éjacula un sperme copieux et épais qui dégoulina sur son bas-ventre après avoir fusé dans le vagin surmené de Mylène.
    
    Légèrement groggy sur le canapé, assis côte à côte, le couple reprit peu à peu ses esprits et après un tour dans les toilettes, Mylène s’entendit proposer de jeter un œil sur le tableau. Frédéric retira le tissu masquant et ...
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