1. L'artiste peintre et son modèle


    Datte: 02/12/2022, Catégories: fh, fplusag, rousseurs, grossexe, poilu(e)s, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, Humour occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... les jambes. Elle fut fascinée par l’imposant costume trois-pièces que le peintre exhibait sous son chevalet, ce qui se traduisit par un regard sans doute éloquent puisque Frédéric lui lança le pinceau à la main :
    
    — Oui, c’est ça, garde cette mine, c’est exactement ce que je souhaite.
    
    Le léger ballottement de sa queue épaisse pendant qu’il peignait imprégna tellement l’esprit de Mylène qu’une fois rentrée chez elle, elle ne cessa d’y penser. Lorsque Corinne l’appela pour lui demander ses premières impressions, elle ne put lui cacher l’initiative de son frère :
    
    — Il est coutumier du fait, lui répondit son amie. Fais gaffe ! Il va finir par te baiser. Comme toutes les autres !
    
    Mylène protesta, arguant qu’il avait eu cette attitude « pour la mettre à l’aise » et que cela avait bien fonctionné, rien de plus. Corinne répondit par un petit rire et glissa :
    
    — De toute façon, je m’en fiche, c’est ton affaire. Mais s’il te plaît, ne me joue pas l’air de la prude. Je ne te connais que trop bien.
    
    Allusion à quelques frasques passées en commun. Mylène ne releva pas. Elle savait bien que son allure de petite bourgeoise dissimulait un appétit sexuel au moins égal à celui de son amie, même s’il était un peu en veilleuse depuis qu’elle était à nouveau en couple avec un homme il est vrai plus tout jeune. Et elle reconnutin petto que le peintre avait réveillé en elle une libido quelque peu endormie depuis plusieurs semaines, son compagnon ayant tendance à ne se mobiliser ...
    ... qu’un week-end sur deux, et encore. Sa bite ne supportait pas la comparaison avec celle de Frédéric. Elle en rêva d’ailleurs une bonne partie de la nuit.
    
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    Les jours suivants, Mylène se conforma avec abnégation aux exigences du peintre, adoptant cette position un peu tordue qui lui faisait mal au dos. Lorsqu’il lui permettait de se détendre, elle se montrait moins pudique et s’étirait langoureusement, seins dressés et cuisses ouvertes, ne cherchant plus à dissimuler sa fente. Frédéric nota le changement et la félicita :
    
    — C’est bien, tu commences à te décoincer, tu corresponds mieux au tableau.
    
    Il peignait avec frénésie, mais ne l’autorisait pas à regarder son travail, le dissimulant sous une toile après chaque séance. Elle ne pouvait donc savoir qu’il s’intéressait particulièrement, à la pigmentation de sa peau crémeuse constellée de taches de son à hauteur de la poitrine, et à bien reproduire ses seins larges et épanouis et ses cuisses fuselées de sportive. En revanche, elle constatait tout en posant que sa queue se relevait parfois sous le chevalet d’un mouvement spasmodique comme s’il était excité par son corps. Loin de s’en offusquer, elle en fut flattée, et même de plus en plus remuée.
    
    Lors d’une de ces pauses, il banda franchement, le pénis à l’horizontale (et quel pénis !) et elle sentit couler le long de sa cuisse un filet de liquide qui n’était pas de l’urine. Elle s’attendait à ce qu’il la culbute à la fin de la séance et au fond d’elle-même, elle ...
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