1. L'artiste peintre et son modèle


    Datte: 02/12/2022, Catégories: fh, fplusag, rousseurs, grossexe, poilu(e)s, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, Humour occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    Au cours d’une réunion de famille, Frédéric prit sa sœur Corinne à part :
    
    — Je suis dans la merde. Mon modèle me fait faux bond. Je n’ai personne pour finir mon tableau. Tu ne connaîtrais pas quelqu’un de ton âge qui serait intéressé à poser pour moi ?
    — Il s’agit de poser à poil, si je me souviens bien, et ça ne va pas être évident pour une femme mûre. C’est bien ça que tu cherches, non ?
    — Exact ! Mon tableau se veut une réplique du « Déjeuner sur l’herbe » de Manet, version XXIe siècle avec quatre personnages contemporains, mais sans l’attrait de la jeunesse, trop facile. Assez réaliste en somme. J’ai déjà les deux mecs : moi-même et un copain. Ils sont déjà quasiment terminés, comme le fond naturel. Mais il me manque la femme et c’est l’essentiel. Elle sera nue avec les hommes habillés, comme dans le tableau de Manet.
    — Eh ben, ça promet. Et tu comptes vendre ça ?
    — Je fais de l’art, pas du commerce. Bon, tu connais quelqu’un ou pas ?
    — Je réfléchis. Si tu veux, je peux poser, ça ne me gêne pas de me montrer à poil.
    — Non, pas du tout, parce que tu es déjà dans le tableau, tout au fond, en train de te baigner dans la petite mare. Rassure-toi, on te reconnaîtra à peine.
    — Ravie de l’apprendre…
    — Alors, tu vois quelqu’un ? Une copine ?
    — Oui, peut-être, mais il faut que je le lui demande. Je te tiens au courant.
    — Merci sœurette. Tu me rendrais un gros service. Mon modèle me faisait la chanson, elle voulait faire monter les prix. Dis à ta copine que je la ...
    ... dédommagerais. Mais je n’ai pas de gros moyens, tu le sais.
    — Pas de problème. Si c’est celle que je pense, elle est à l’abri du besoin.
    
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    Quelques jours plus tard, Corinne prenait un thé avec son amie Mylène, prototype de la bourgeoise BCBG, les cheveux blond vénitien, la plastique impeccable travaillée dans les salles de gym, faisant dix ans de moins que ses cinquante ans en dépit de quelques rides difficilement escamotables. Au détour de la conversation, Corinne aborda le sujet du tableau :
    
    — Tu connais mon frère Frédéric, le peintre. Il s’est lancé dans un truc ambitieux : un « Déjeuner sur l’herbe » de nos jours, avec bien sûr une femme nue, mais de notre âge, pour faire plus réaliste. Problème : il n’a plus de modèle. Je me suis proposée, mais il paraît que je suis déjà dans le tableau. Bref, est-ce que ça t’intéresserait de poser pour lui ou pas ?
    — Attends. À poil, tu m’as bien dit ?
    — C’est ça, à poil.
    — Et tu crois que je vais faire ça à cinquante balais ? Montrer mes bourrelets et mes rides ? Mes seins tombants ?
    — Tu exagères. Tu as encore un joli corps. Au contraire, on pourrait apprécier ta plastique, l’érotisme que tu dégages. C’est l’esprit du tableau.
    — Donc, c’est un tableau porno ?
    — Mais non ! C’est de l’art ! Et tu serais dedans. Imagine la tête de certaines que nous connaissons bien. Elles en seraient malades de jalousie.
    
    L’argument laissa Mylène songeuse. L’idée de faire enrager certaines collègues moins avantagées physiquement lui ...
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