Une mère pas comme les autres... (18) - Histoires de Sexe

Une mère pas comme les autres... (18)

... Il faudra que nous recommencions.

- Bien sûr !

Elles se tournèrent vers moi en riant et se jetèrent à nouveau sur mon sexe tendu.

Je les arrêtais dans leur mouvement en me levant.

- Laissez-moi être debout ! Sucez-moi dans cette position maintenant.

Elles sourirent et, en prenant le matelas du transat pour le poser sous leurs genoux, elles recommencèrent à sucer ma queue.

Anaïs gobant mes testicules alors que Maman avalait une grande partie de mon sexe.

J’avais ces deux femmes, juste à mes pieds, en train de me sucer royalement.

Je savais que, cette fois, je ne me retiendrai plus. Que je ne le pourrai plus.

Elles alternaient entre elles celle me suçait et celle qui léchait mes couilles pleines. Anaïs, qui était celle qui me suçait à cet instant, poussa ses lèvres contre mon pubis et resta dans cette position quelques secondes.

J’étais inerte, incapable de bouger tant le plaisir grimpait en flèche à chaque seconde durant lesquelles elle maintenait la position. Puis, n’y tenant plus, elle se recula en toussant mais en riant du plaisir qu’elle m’avait offert. Maman prit sa suite et exécuta le même mouvement. Le plaisir grandit encore un peu plus, si cela était possible, et je sentais mes testicules se tendre, le sperme montant le long de ma queue.

Elle dût le sentir car, elle se recula promptement, comme pour annihiler mon plaisir montant.

Anaïs reprit la suite en entama une fellation traditionnelle, suçant mon gland et léchant ma ...

... hampe.

Je la vis alors faire un nouveau geste exquis.

Elle prit la main de Maman et, plutôt que de la poser sur moi, elle la posa sur sa poitrine, lui intimant alors ainsi l’ordre de la caresser tandis qu’elle le suçait.

Lorsque la main maternelle entama sa caresse, Anaïs gémit de désir

- Mmmmhhhhh….

Elle ne pouvait faire plus, la bouche pleine de mon excitation.

Maman me sourit et caressa de plus belle les seins d’Anaïs, utilisant ses deux mains. Puis, elle descendit son visage et, placée entre mes jambes et le torse d’Anaïs, lui lécha les seins.

J’étais au maximum de l’excitation, mes jambes tremblaient sous mon poids et je devais faire un effort surhumain pour tenir encore un peu sans m’écrouler de plaisir.

Mais lorsque Maman, sentant que le point de non-retour était à portée, posa sa main libre sur sa chatte en me parlant, je défaillis

- Oohhh…Philippe…Ma chatte est trempée. Anaïs va venir me la nettoyer lorsque tu auras joui et je vais me déverser à mon tour dans sa bouche….Ooohhhh….ouiiiiiiiiiiiii……je jouiiiiissss.

Je n’eus le temps que de dire

- Anaïs….je jouiiiiiisss !

Elle ouvrit la bouche et sortit sa langue le long de ma queue. Elle s’y attendait visiblement. Elle devait avoir aussi ressenti que mon excitation était à son paroxysme.

Dans un râle de plaisir, de ma queue dure et tendue, jaillit plusieurs salves de mon sperme.

Anaïs garda, sur sa langue, les deux premières. Mais les deux suivantes tombèrent sur le haut de ses ...