Une mère pas comme les autres... (18) - Histoires de Sexe

Une mère pas comme les autres... (18)

... le méat entre-ouvert de ma queue. Elle me fixa avec un regard brûlant avant d’ouvrir ses lèvres et de commencer la descente vers mon paradis. Je pouvais ressentir chaque millimètre de sa progression, sa pression sur la queue étant parfaitement calculée à cet effet.

Maman, de son côté, s’était reculée de quelques centimètres et, passant ses mains derrière Anaïs, lui caressa le dos, tout en me regardant par-dessus son épaule, un sourire ampli d’amour et de désir collé à son visage.

Elle me fit un clin d’œil complice puis, descendant son visage derrière le corps de ma compagne, lui embrassa les épaules délicatement tout en la débarrassant des reliquats de ses derniers remparts vestimentaires.

C’était d’un érotisme sans nom.

Le regard de ces deux femmes me pénétrant jusqu’au plus profond de mon cortex, détruisant les derniers vestiges de mes interrogations et de mes réticences, leurs mains volant entre mon corps et le leur, leurs bouches démoniaques me donnant un plaisir inégalé et leurs sens explosant pour mon plus grand plaisir.

Maman passa ses mains sur le torse d’Anaïs et lui caressa les seins.

J’eus la surprise de sentir la réaction de ma compagne à l’instant où Maman posa ses mains sur sa poitrine nue et tendue par l’excitation du moment.

- Mmmhhhh….

Anaïs approuvait par ce borborygme le choix de Maman de la caresser alors qu’elle me prodiguait une fellation d’anthologie. Sa bouche était un écrin de soie et de velours dans lequel je me noyais, la ...

... pression exercée par ses joues et sa langue contre la queue était divine et j’aurais pu rester ainsi des heures durant, tant le plaisir m’envahissait jusqu’aux tréfonds de mon âme tourmentée.

- Tu aimes, Philippe ?

Maman venait de me poser cette question un peu idiote mais tellement provoquante dans ces circonstances.

- Oh ouiiii…. ! Répondis-je dans un souffle de désir.

- Ah oui ?

- Vous êtes démoniaques. La bouche d’Anaïs est délicieuse et admirer tes mains lui caresser les seins est divin pour mon excitation.

- Oh ! Vilain voyeur ! Me dit Maman en riant. Mais ce n’est que l’échauffement, n’est-ce pas Anaïs ?

- Oh oui ! J’aime sa queue dans ma bouche, mais je pense que nous pouvons faire bien plus pour exciter ce jeune homme ! Répondit-elle en lâchant ma queue et en se tournant vers Maman.

Je les vis alors s’embrasser à nouveau, les langues s’écrasant l’une contre l’autre entre leurs lèvres ouvertes, les mains d’Anaïs caressant les gros seins de Sylvie alors que cette dernière avait repris possession de mon sexe et lui prodiguait une masturbation lente tout en décalottant mon gland jusqu’à la garde.

Je pris appui un peu plus confortablement en me redressant un peu dans le transat.

J’étais parfaitement installé pour ce qui allait suivre.

Maman et Anaïs cessèrent de s’embrasser et posèrent alors ensemble leur bouche de part et d’autre de ma queue. Elles montèrent et descendirent de commun le long de ma verge, leur bouche se scellant contre mon ...