Une mère pas comme les autres... (18) - Histoires de Sexe

Une mère pas comme les autres... (18)

... Ouiiiii…..Encore….je mouille comme une folle….

Je laissais Maman et Anaïs jouer un peu entre elles durant quelques instants, le temps pour que la pression dans mon sexe redescende un peu.

- Anaïs ? Et si tu donnais à Maman le même plaisir ? Dis-je d’une voix impérative.

- Tu veux me voir sucer les seins de ma belle-mère ?

C’est la première fois qu’elle l’appelait ainsi et cela nous excita tous les trois.

- Oui ! Je suis certain qu’elle n’attend que cela.

- Bien, Maître ! Est-ce que cela va t’exciter ? Me demanda-t-elle joueuse.

- Bien sûr !

- Alors regarde bien !

Je vis, comme dans un rêve, la bouche d’Anaïs se baisser vers la poitrine tendue de Maman qui se cambra un peu pour lui donner un accès plus simple à ses seins.

Maman me regarda et me sourit, comme pour me remercier de cette initiative qui lui plaisait visiblement beaucoup.

À son tour, lorsqu’Anaïs posa sa bouche sur elle, elle émit un son reconnaissable entre tous.

- Mmmmhhhh….Enfin !

- Tu le veux ? Demanda Anaïs, continuant de parler pour notre plus grand plaisir.

- Ouiii….suce mes gros seins ! Montre-moi ce dont tu es capable.

Anaïs sortit sa langue entre ses lèvres et la posa sur le téton gauche de Maman. Je le vis se tendre d’un coup sous la décharge qu’Anaîs venait de lui envoyer.

- Ooohhh…..ouiiiii….Vas-y !

Anaïs emprisonna le téton entre ses lèvres et je devinais le bout de sa langue qui le caressait. Avec une main, elle caressait le sein libre de Sylvie, qui ...

... ne se priva pas pour poser sa propre main sur celle de ma copine pour lui montrer le rythme qui était celui de son propre plaisir.

Maman se caressait le sein au travers de la main d’Anaïs qui lui suçait l’autre partie de sa poitrine.

Je ne pus m’empêcher de poser ma main sur ma queue tendue et d’entamer un mouvement lent de masturbation. Je fis, néanmoins, attention à ne pas provoquer un désir incontrôlable car je voulais me réserver pour ces deux folles de sexe.

Lorsque Maman ouvrit les yeux, elle me vit et posa sa main à la place de la mienne en disant

- Laisse-moi faire, Philippe ! Profite donc de ce moment, comme tu le désirais. Nous nous occuperons de toi après.

Maman caressant lentement ma queue, j’avais tout le loisir d’admirer Anaïs dans ses œuvres. Et elle semblait douée à en juger par les soupirs d’aise qui s’échappaient de la bouche de Maman.

Je pris l’initiative de prendre la main libre d’Anaïs dans la mienne et de la poser sur sa propre poitrine. Elle comprit mon message et, en souriant, se caressa aussi les seins. Alternant de l’un à l’autre, selon son ressentit et son plaisir montant.

- AAAAHHHH….OOUUUIIIIII…. !

Maman hurla son plaisir alors qu’Anaïs venait de mordre légèrement le téton qu’elle excitait depuis un moment, ce qui déclencha le plaisir chez Maman.

Et, tandis qu’Anaïs se reculait, Maman lui agrippa les joues et la ramena à elle pour un baiser passionné.

- Mmmhh….C’était divin, Anaïs !

- De rien, Sylvie ! J’ai adoré. ...