Une mère pas comme les autres... (18) - Histoires de Sexe

Une mère pas comme les autres... (18)

Lorsque les lèvres de Maman et celles d’Anaïs touchèrent ensemble, dans un mouvement parfaitement synchronisé, la corolle de mon sexe tendu, un éclair fulgurant parcouru mon corps, des pieds à la tête.

Mes muscles se tendirent en un spasme complet

- Oh, mon Dieu !

Ce furent les seules paroles que je pus prononcer, à la grande hilarité des deux déesses vautrées entre mes cuisses. Ces deux démons femelles savaient exactement ce qu’elles étaient en train de faire. Elles réalisaient, pour moi et uniquement pour mon plaisir visuel et physique, l’un des fantasmes le plus répandu dans la gente masculine.

En appui sur le dossier du transat, je ne perdais pas une miette des mouvements qu’elles effectuaient. Et, à chacun d’eux, ma queue se tendait un peu plus vers ces bouches gourmandes.

Anaïs léchait la hampe de mon sexe de haut en bas, sa langue sortie entre ses lèvres, dégustant chaque millimètre possible entre mon pubis et mon gland. Ce dernier était emprisonné entre les lèvres maternelles qui gobaient ce pal turgescent. Je pouvais sentir sur la couronne de mon sexe, la langue de Maman qui effleurait délicatement le frein, m’expédiant directement au paradis...ou en enfer, je ne sais plus.

Mais l’ensemble était d’une douceur et d’une volupté sans nom.

Je n’avais jamais ressenti une telle félicitée qu’à cet instant.

Quel homme ne rêve pas d’un tel traitement de la part de la femme qu’il aime ? Qu’elle lui permette de profiter d’une douceur à deux bouches, ...

... qu’elle partage une queue tendue avec une autre femme aussi gourmande qu’elle et qui n’est pas avare d’un partage des corps. J’avais une telle femme qui était partageuse et n’hésitait pas à jouer avec le corps et les sens de sa partenaire, pour mon plus grand plaisir et une excitation permanente de mon cerveau.

Mais, cerise sur le gâteau, si j’ose m’exprimer ainsi, ce troisième partenaire était ma propre mère. Celle qui m’avait mis au monde, celle qui me connaissait mieux que quiconque et qui m’offrait ce délice suprême de l’excitation. Comment pourrais-je résister à un tel déluge d’images érotiques lorsqu’en plus plusieurs d’entre elles sont le fruit d’un interdit moral, ne permettant que d’en décupler ses effets ?

Ainsi, Anaïs et Maman me prodiguait ma première fellation à deux bouches. J’allais mourir, c’était une évidence !

Je fermais les yeux un instant pour me concentrer sur mes sensations. Je pouvais sentir la langue de Maman sur mon gland, les lèvres d’Anaïs contre la hampe de mon sexe et la douceur de sa langue contre mes testicules dès que sa position le lui permettait.

J’étais aux anges.

Mais ce n’était encore rien en comparaison de ce qui suivit.

En ouvrant à nouveau les yeux et en posant mon regard sur le spectacle qui s’offrait à moi, Maman me sourit, la bouche toujours pleine de mon désir et se positionna sur le côté, laissant à Anaïs le loisir de reprendre le flambeau.

Celle-ci ne s’en priva pas et posa, à son tour, le bout de la langue contre ...