1. Dépannage à domicile


    Datte: 29/08/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail fdomine, hdomine, pénétratio, fsodo, Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe

    ... heures, il finissait de rincer ses pinceaux quand la porte s’est ouverte.
    
    — Alors François, c’est terminé ?
    — Non madame, il me faut encore une paire de jours. Je viendrai travailler demain samedi, mais je ne pourrai pas terminer. Probablement lundi sauf incident.
    — Il me semble que vous ne vous pressez pas beaucoup.
    — Mais madame, pour travailler correctement…
    — Ça suffit ! À lundi.
    
    Très énervé, François veut protester, se défendre, mais le chantier n’étant pas fini, elle refusera certainement de le payer.
    
    Le samedi et toute la journée du lundi il a travaillé d’arrache-pied. Le lundi, à dix-neuf heures alors qu’il soignait son matériel, elle est entrée, claquant la porte derrière elle.
    
    — Alors François, toujours pas fini ! Mais vous ne foutez rien !
    
    Cette remarque le met hors de lui. Il se redresse, se retourne lentement, s’approche d’elle.
    
    — Tu as fini de me faire chier, je travaille comme un con pour un salaire de merde et tu viens encore m’insulter ! Mais j’en ai marre de toi. Si tu penses me faire peur, c’est raté.
    — Mais, monsieur François…
    — Ta gueule, tu la fermes ; ici sur le chantier, c’est moi le maître !
    — Mais monsieur…
    
    François se sent en position de force. De la même manière qu’elle l’a écrasé, il va faire de même, lui faire comprendre ce que l’on ressent face à cette humiliation.
    
    — J’en ai plein les couilles, j’ai envie de les vider, mais je me demande où ?
    — Vous me menacez, je vais crier.
    — Tu peux hurler tant que tu ...
    ... voudras, tu sais très bien que, personne ne t’entendra.
    — Mais dites…
    — Tu m’as humilié, ridiculisé. Maintenant que le boulot est terminé et que tu vas me payer, je t’emmerde. L’autre soir, tu m’as tenté de m’exciter avec ta gouine, afin de pouvoir m’écraser. J’ai compris ton jeu et j’ai résisté car j’avais besoin de cet argent. Pourtant, je me la serais bien faite. Mais aujourd’hui, c’est toi que j’ai envie de sauter.
    
    François veut voir sa réaction. Lui parler de coucher avec un homme ! Elle va hurler, lui dire qu’elle ne le paiera pas. Et il sera obligé de céder car il veut son argent. Mais tout de même, il lui aura fait sentir ce que c’est d’être dominé, écrasée.
    
    — Mais vous n’oseriez pas ! Ce serait un viol !
    — Sauf si c’était toi qui me demandais, et je sens que tu vas le faire.
    — Jamais monsieur, je déteste les hommes.
    — Parce que tu n’y as jamais goûté. Ton seul plaisir, c’est de dominer. Tu prends des filles parce que tu as peur des mâles et que ces gamines acceptent de t’obéir, probablement pour du pognon. Tu as profité que j’avais besoin d’argent pour m’abaisser moi aussi. Mais tu devrais accepter à ton tour d’être dominée, je suis sûr que tu y prendrais du plaisir. Tes gouines, elles, en plus du fric, prenaient peut-être du plaisir à céder à tes exigences. Tu devrais essayer, tu aimerais certainement.
    — C’est vrai, j’ai toujours pris le dessus. Mais mes partenaires étaient d’accord. Cela m’apportait un sentiment excitant, très fort. C’était plus intellectuel, ...