1. Dépannage à domicile


    Datte: 29/08/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail fdomine, hdomine, pénétratio, fsodo, Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe

    ... que par satisfaction sexuelle.
    — Alors demande-moi de te baiser.
    — Oui François. Faîtes-moi l’amour.
    — Tu ne me dis pas François, mais Maître, compris ?
    — Oui, Maître.
    — Alors, à poil !
    
    Il dit ses paroles dans un moment de défi, sachant qu’elle refusera. Il ne pourra rien faire, mais au moins il aura eu la satisfaction de montrer qui est le plus fort !
    
    Mais, elle défait sa robe qui tombe à ses pieds, elle quitte ses sous-vêtements.
    
    François reste totalement abasourdi ! Mais puisqu’elle accepte, autant en profiter.
    
    — Penche-toi en avant, mets tes bras croisés sur le bord de la table, repose ta tête dessus, que je vois bien ton cul. Je suis sûr qu’aucun homme ne t’a jamais baisé. Oui ou non.
    — Non, aucun homme ne m’a jamais touchée.
    — Eh bien je vais combler ce manque, je vais te prendre. Pas te violer, tu as dû t’enfiler des godemichés bien plus gros que ma queue, pas vrai ?
    
    Sans un mot, elle s’exécute, dresse les fesses.
    
    — Bon et maintenant je vais te baiser. Mais d’abord, voyons le terrain.
    
    Placé derrière elle, il lui taquine le clitoris d’une main, de l’autre il pince le bourgeon d’un sein. D’abord elle cherche à serrer les cuisses puis accepte. Sortant son sexe, il s’en sert à la place du doigt pour poursuivre la caresse. La victime ne dit rien. Au contraire il semble qu’elle gémit doucement. François est stupéfait. Il glisse un, puis deux doigts dans le vagin. Ils entrent facilement.
    
    — Et maintenant, je vais enfoncer ma queue dans ton ...
    ... con, tu es d’accord ?
    — Oui, Maître.
    — Demande-le-moi.
    — Baisez-moi, Maître.
    
    Alors doucement il s’enfonce sans difficulté dans ce conduit humide. D’abord lentement, s’arrête, puis reprend plus vite, s’immobilise enfin. Et c’est la victime qui continue seule le mouvement.
    
    — Alors, c’est bon ? Tu veux que je continue, ou bien je m’arrête.
    — Continuez Maître, mais je ne prends pas la pilule.
    — Je ne suis pas un salaud, je ne veux pas t’engrosser. Mais alors comment je vais finir, dans ta bouche ou ton cul, tu dois aussi l’avoir agrandi.
    — Dans le cul, Maître.
    
    Il se présente plus haut, pointe au centre de la cible, et à nouveau s’enfonce facilement. Alors couché sur elle, lui pinçant les seins, il la sodomise à grands coups. Elle gémit, puis crie, mais pas de douleur.
    
    — Ah, Maître, c’est bon, je viens.
    — Moi aussi, je t’en mets plein le cul.
    
    Il se retire, redresse sa victime, la prend aux épaules, la fait pivoter. Elle reste la tête basse, regardant le sol. Il lui soulève le menton et l’embrasse. Elle a d’abord la bouche close puis accepte le baiser. Magnanime il lui dit :
    
    — Allez, va essayer la salle de bains, tu verras si elle fonctionne.
    — Oui, Maître.
    
    Il lui apporte la serviette de toilette qu’il prend pour se laver après le travail. Quand elle sort, il lui tape gentiment sur les fesses.
    
    — Habille-toi, on monte chez toi.
    
    Ils sont sortis, sans un mot, ont regagné l’étage. Elle a ouvert la porte, s’est dirigé vers son bureau.
    
    — Combien vous ...
«12...891011»