1. Dépannage à domicile


    Datte: 29/08/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail fdomine, hdomine, pénétratio, fsodo, Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe

    ... solution ?
    — Non, je ne vois pas. Attends, si, en parlant de société, j’avais fait appel à l’une d’entre elle le mois dernier. Le plombier qui est venu me dépanner était désespéré, sa boîte faisait faillite et il allait se trouver au chômage. Il m’a dit que si j’avais besoin d’un plombier, je n’avais qu’à faire appel à lui. Il m’a laissé ses coordonnées, son numéro de portable, un instant, je te le donne.
    
    Pas très optimiste, Fabienne décide de tenter sa chance. Surprise, après trois sonneries on décroche.
    
    — Monsieur François ?
    — Oui, c’est moi. C’est pourquoi ?
    — J’ai une fuite d’eau dans mon appartement et mon amie Blandine, que vous avez dépannée, m’a donné votre téléphone. Est-ce que vous pourriez réparer ce tuyau ?
    — Je suis plombier, donc capable. Il me faudrait voir sur place pour connaître la cause et la nature, savoir s’il faut une pièce particulière. Si c’est le cas, je ne pourrais vous dépanner que demain.
    — Voici mon adresse, venez vite.
    
    Le problème n’est pas encore résolu, mais il y a quand même de l’espoir. Demi-heure plus tard, on sonne. Un homme jeune, très grand, le beau mâle, le genre qui me fait concurrence, se trouve devant la porte, une boîte à outils sur l’épaule. Lui, regarde avec envie cette femme magnifique.
    
    — Bonjour madame, je suis François, vous m’avez appelé.
    — Oui, merci. Venez voir, c’est dans la salle de bain.
    
    Accroupi, une lampe de poche à la main, le plombier examine les dégâts.
    
    — Pensez-vous pouvoir réparer de suite ...
    ... ?
    — Je peux arrêter la fuite provisoirement. Mais il faut changer une pièce que je n’ai pas.
    — Vous réparez, mais est-ce que cela tiendra jusqu’à demain ?
    — Dans un mois cela tiendrait encore, mais il vaut mieux tout de même remettre l’installation en état.
    — Je vous laisse travailler.
    
    Inquiète malgré tout, elle éponge l’eau, nettoie, puis va dans la salle à manger. Une demi-heure après, le dépanneur apparaît.
    
    — Mon dieu, vous n’y arrivez pas ?
    — Si, il faudrait rouvrir l’eau pour voir si ma réparation est étanche. Si par hasard, ça fuyait, je vous dirai de fermer.
    
    Fabienne est allée faire le nécessaire, craignant d’entendre crier d’arrêter. Mais pas de bruit. Elle entre, va à la salle de bain. L’homme est en train d’emballer ses outils.
    
    — Vous êtes sûr que ça tiendra ?
    — J’ai colmaté avec du ruban spécial. Mais il faut réparer le plus rapidement possible. J’ai noté le type et les caractéristiques de la pièce à remplacer.
    — Je vous remercie. Combien vous dois-je ?
    — Si je vous appliquais le tarif des dépannages rapides, déplacement, matériel, main d’œuvre, au moins cent cinquante euros. Je peux vous en parler, j’ai travaillé pendant six ans dans ce genre de boîte. Mais ce sont des voleurs. Disons que je suis parti de chez moi depuis deux heures environ. À vous de juger.
    — Voici cinquante euros. Est-ce que vous pourriez, le cas échéant effectuer demain la réparation définitive ?
    — Naturellement, c’est mon métier. Il suffit d’acheter le matériel.
    — Je vous ...
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