Perversion en famille (4) - Histoires de Sexe

Perversion en famille (4)

... baiser avec mes enfants, beaucoup plus qu’avec votre père. Le pauvre, s’il savait.

— Ne t’en fais pas pour papa, tu serais surprise de savoir ce qu’il fait, lui aussi.

— Que veux-tu dire par là ? Il y a des choses que je devrais savoir ? Et puis comment pourrais-tu savoir ce que fait ton père ?

— Rien, laisse tomber.

— Attends, ne me dis pas que ton père et toi, vous avez, vous avez...

— Nous avons quoi ? Baisé ? C’est cela que tu veux dire. Eh bien, ce n’est pas le moment d’en parler et à cet instant, je pense vraiment à une autre personne que papa, tu vois. Reviens à la réalité maman, tu es là, à poil sur ton lit entouré de tes deux filles également nues et qui n’attendent qu’à faire l’amour avec toi. Alors ne crois-tu pas que nous avons autre chose à faire que de parler de papa.

Clémentine qui nous a écoutées bien sagement et qui commence à s’impatienter décide alors d’intervenir.

— Allez, Laureline, laisse-moi ta place, moi aussi j’ai envie de la bouche de maman.

Je sens une autre bouche prendre possession de mes lèvres, une bouche tout aussi avide que celle de Laureline. Nous nous enlaçons aussitôt et encore une fois, j’oublie tout, j’oublie avec qui je suis, qui j’embrasse. Seul mon plaisir a de l’importance. Ce baiser fougueux dure plusieurs minutes jusqu’à ce que Clémentine se redresse.

— Maman, j’ai envie de lécher ta petite chatte et que tu en fasses de même avec la mienne.

Aussitôt dit, ...

... aussitôt fait, Clémentine se retourne pour un 69, m’offre son sexe et commence à me lécher l’intérieur de mes lèvres intimes. Il n’en faut pas plus pour que mon vagin s’humidifie, une nouvelle fois. Nos deux langues s’activent simultanément pour faire monter le plaisir et ce dernier arrive vite, très vite. Ma bouche déguste le jus intime de ma fille ainée qui me rend la pareille.

— C’est si bon, maman, tu ne peux pas savoir comme je rêvais de pouvoir faire cela un jour. Ta chatte est merveilleuse et ton jus si bon. Et comme tu me fais du bien toi aussi, je sens que je vais bientôt jouir.

Je remonte ma bouche au niveau du clitoris de ma fille. Ma langue joue avec, le léchant délicatement puis plus énergiquement avant que je fasse des succions avec ma bouche. Caroline, pas en reste, fait de même avec mon bouton intime. Laureline, quant à elle, s’est blottie contre mon dos et m’embrasse tendrement dans le cou.

— Oh oui, Caro, continue, suce-moi bien le clito, c’est vraiment trop bon, encore, encore. Et ta sœur qui m’embrasse si bien le cou pendant ce temps. Ah mes deux filles, comme je vous aime. Je mouille, je mouille. Je vais jouir, ououiii, ouiii.

A cet instant, un violent orgasme me submerge et j’arrose le visage de ma fille de ma cyprine. Et comme pour augmenter encore plus ce moment d’extase, je sens le corps de Clémentine se raidir puis son jus envahir ma bouche. Un jus intime que je savoure comme le nectar tant désiré.