Perversion en famille (4) - Histoires de Sexe

Perversion en famille (4)

... envie de me perdre, c’est avec eux que je veux baiser et avec personne d’autre. Seuls ces amours incestueux me mèneront au bonheur, je le sais au plus profond de moi.

Mes yeux restent fermés comme pour ne pas laisser échapper le plaisir que je viens de vivre. Je sens les lèvres de Laureline reprendre possession de ma bouche alors qu’elle caresse avec tendresse mes cheveux. Et je sens en même temps sa langue s’occuper de mes seins. C’est si bon, si... Non, impossible, Laureline ne peut pas en même temps embrasser ma bouche et mes seins. J’ouvre les yeux en grand. Le visage de Laureline est au-dessus du mien, toujours avec ce sourire aux lèvres. Je me penche et j’aperçois alors Clémentine, mon ainée, nue, allongée elle aussi sur le lit. Elle incline sa tête pour me regarder droit dans les yeux, tout en continuant à me lécher un mamelon.

— Surprise maman ? Tu étais tellement sous l’emprise de ta jouissance que tu ne m’as pas entendue arriver et m’allonger à tes côtés. Alors, ma petite maman, heureuse d’avoir tes deux filles pour toi toute seule, d’avoir tes deux filles qui vont de nouveau te faire jouir ?

— Clémentine, ce n’est pas possible, pas toi.

— Quoi, pas moi ! Oui, je sais, Madame sainte-nitouche comme m’appelle Laureline pour se moquer. Eh bien, Madame sainte-nitouche, elle adore faire l’amour. Qu’est-ce que tu crois ? Que je ne pense qu’au travail ? Eh bien non, je suis comme ma sœur, j’aime baiser. Avec des garçons, avec des filles, peu importe, du moment ...

... que je puisse jouir. Et quand je suis seule, et bien, mes différents godes, plugs ou autres jouets et même des légumes font l’affaire. Eh oui, tu as engendré deux grosses dépravées, deux grosses cochonnes avides de baise.

— Jamais je n’aurais pu imaginer cela, Clémentine. Et ces mots crus dans ta bouche, toi que je croyais si coincée.

— Eh bien non, ma petite maman, tu vois, je suis aussi salope que Laureline. Et comme les chiens ne font pas des chats, nous savons toutes les deux de qui nous tenons. De toutes les salopes qui aiment le sexe et que je connais, tu es la reine maman, car tu baises avec tes enfants et, car tu ne peux pleinement jouir qu’avec ces rapports incestueux. Allez, dis-le que tu aimes baiser avec Frédéric et tes deux filles.

— Mais comment sais-tu pour Frédéric ?

— Que crois-tu ? Que Laureline allait garder ce secret pour elle. Non, hier soir, elle s’est empressée de venir me le dire. Elle ne peut rien cacher à sa grande sœur. Et ne détourne pas la conversation, je veux que tu avoues aimer baiser avec tes enfants.

— Non, ce n’est pas ça, c’est...

— Stop maman, dit soudainement Laureline, Clémentine t’a demandé quelque chose, alors fais-le. Tu verras, après, tu seras encore plus libérée.

— Eh bien oui, c’est vrai, j’aime baiser avec vous et qu’avec vous. J’aime quand la queue de Frédéric me prend, j’aime quand Laureline me lèche et je vais certainement adorer baiser aussi avec toi, Clémentine. Voilà, je l’ai dit et je le redis, j’aime ...