Perversion en famille (4) - Histoires de Sexe

Perversion en famille (4)

J’ai eu du mal à dormir cette nuit. La fatigue de mon déplacement professionnel bien sûr, mais surtout la tournure des évènements lors de cette soirée au cours de laquelle je me suis donnée sans retenue à Frédéric, mon fils, et qui s’est terminée par un nouvel orgasme, tout aussi fort, dans les bras de Laureline, ma cadette.

Heureusement, ou plutôt malheureusement, mon mari Nicolas n’a pas essayé de me faire l’amour. C’est vrai que nous étions vendredi, pas encore réellement le week-end, et il ne faut pas déroger à la sainte règle du rapport du samedi soir. Parfois, je me demande si nous sommes faits pour vivre en couple toute une vie, le désir de l’être que l’on a follement aimé à nos débuts ayant tendance à s’émousser voire à disparaître avec le temps. Quelle est la solution ? Se séparer quelque temps pour éventuellement se reconquérir, avoir des amants ?

En tous les cas, moi, j’ai choisi une voie qui me serait reprochée si elle éclatait au grand jour. Je fais l’amour avec mon fils et j’aime cela. Dans ses bras, j’ai l’impression de redevenir une femme désirée, une femme aimée et toutes mes réticences se sont effacées hier soir. Je suis prête à accepter tout de lui maintenant. Mais je ne m’attendais pas à éprouver un tel plaisir dans les bras d’une femme, qui plus est ma fille. Et pourtant, j’ai joui, d’une façon certes différente, mais tout aussi intensément quand elle m’a embrassée d’un long baiser passionné, puis quand elle a caressé sans aucune gêne et retenue ...

... ma vulve et mon bouton d’amour. Ses doigts m’ont fouillée, m’ont excitée jusqu’à l’orgasme. Et quand mon corps a été secoué de spasmes violents, quand j’ai inondé de mon jus intime sa main, quand j’ai crié et que nos regards se sont croisés, j’ai vu dans ses yeux qu’elle était heureuse.

Malgré ses conquêtes masculines, elle avait eu hier soir follement envie de me posséder et elle avait atteint son but.

Alors oui, je suis sans doute perverse, oui on me qualifierait probablement de salope, mais qu’importe, j’aime mes enfants d’une manière différente des autres mères, d’une manière anormale sans doute, mais je les aime. Je ne me l’explique pas et je ne cherche pas d’ailleurs, mais mon corps a besoin de leurs caresses et ce n’est que dans leurs bras que je parviens à l’extase. Depuis hier soir, de ce besoin j’en suis devenue intimement convaincue. Je suis une autre femme, une femme qui désire et aime le sexe avec ses enfants. Malgré tout ce bonheur, j’ai cependant le regret que Clémentine ne partage pas notre amour ; mais je n’ai pas beaucoup d’espoir, elle est beaucoup trop réservée pour cela.

Alors que je paresse ce samedi matin dans le lit conjugal, seule, Nicolas étant parti avec Frédéric de très bonne heure pour une sortie VTT, je sens mon intimité s’humidifier à la pensée de mes trois enfants. Avec une de mes mains, je commence des caresses sur ma poitrine en y promenant mes doigts avant que ceux-ci se rapprochent lentement d’une aréole et de son mamelon pour les ...