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Perversion en famille (4)
Datte: 27/11/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Docmature, Source: Xstory
... effleurer sensuellement. J’aime cette sensation de mes doigts qui titillent mon téton et jouent avec lui. Je le sens durcir et je le pince délicatement avant de pratiquer une caresse identique à mon autre sein. Les yeux fermés, et alors que je pense à Clémentine, je sens le plaisir monter en moi, mon sexe devenir de plus en plus mouillé. Mon autre main est descendue sur mon bas-ventre puis l’intérieur de mes cuisses. Elle n’appuie pas trop fortement, juste ce qu’il faut pour accroître mes sensations. Et puis mes doigts arrivent à ma vulve, déjà trempée de cyprine, et commencent une délicate caresse, pénétrant légèrement à l’intérieur de mon vagin. Ma respiration devient plus saccadée. Mes doigts mouillés remontent vers mon clitoris, font des caresses tout autour avant d’en prendre possession, le tapotant, le titillant. Je le sens gonfler sous l’excitation et j’accentue petit à petit la pression de mes doigts qui effectuent de légers va-et-vient, un peu comme avec un sexe masculin. Dans mon imagination, je vois Clémentine nue et allongée tout contre moi, nous caressant mutuellement. Et là, il ne m’en faut pas plus, je n’ai pas besoin du vibromasseur que j’utilise habituellement, je sens une vague de jouissance arriver qui m’emporte vers l’extase d’un orgasme. Mon corps se cabre, ma main qui a abandonné les caresses mammaires se contracte sous le plaisir, je gémis et je jouis. C’est merveilleux, le fait d’avoir imaginé être avec Clémentine a décuplé ma ...
... jouissance. Je suis si bien, mes yeux sont fermés et je ne pense qu’au bonheur que je viens de me procurer. Il me faut quelques minutes avant de sortir de cet état de béatitude. Soudain, je sens une main se poser fermement sur une de mes cuisses. J’ouvre en grand mes yeux, me demandant qui est-ce. Je vois alors Laureline, assise sur le bord du lit, nue et qui me sourit, un magnifique sourire et je perçois dans ses yeux tout son désir. — Maman, ma petite maman, cela fait des minutes que je t’observe silencieusement. Tu es si belle quand tu te fais du bien, tellement si belle quand tu jouis. Et grâce à toi, mon sexe est une vraie fontaine. Maman, il faut que nous fassions l’amour maintenant, car je te désire si fortement depuis si longtemps. J’ai envie de ta bouche et de caresser ta peau, j’ai envie de boire ton jus intime, de fouiller ton vagin de mes doigts et de lécher ton clitoris. Et j’ai envie que tu en fasses de même avec moi. — Oh Laureline, moi aussi, j’ai envie de toi. Je ne le pensais pas, je croyais éprouver du plaisir que dans les bras de ton frère ; mais non, hier soir, tu m’as prouvé le contraire. Et j’aime les mots que tu prononces, oublie que je suis ta mère. Je fantasme de ton corps, il est si beau, si ferme, si jeune. J’ai envie de faire l’amour avec toi, de baiser comme deux femmes assoiffées de plaisir et de sexe. Je veux que tu me fasses jouir. Il n’en faut pas plus à ma cadette pour s’allonger tout contre moi et m’embrasser avec fougue, nos deux langues se ...