1. L'étudiante sodomisée. (8)


    Datte: 21/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... quatre et il lui fallait à peu près une demi-heure entre la fin de la première éjaculation et le début de la deuxième érection. Après, c’était plus long. Ce n’était pas Victor Hugo, dont la réputation est plus que flatteuse sous ce rapport, mais c’était bien quand même.
    
    J’en inférais que, compte tenu de leur âge, la majorité des queutards qui se trouvaient là me laisserait quitte au bout de deux fois. Pour lors, je tournai au rythme de trois à quatre en simultanée, une place étant occupée, dès qu’un gars découillait pour la deuxième fois. Je calculai cependant qu’il me faudrait facilement deux bonnes heures pour épuiser tout le monde. La nuit serait longue.
    
    Mais le rythme était agréable, trois gars ensemble c’était suffisant pour tous les trous et les mains. A quatre, j’y arrivais encore, d’autant qu’ils étaient moins vivaces. On me prenait en missionnaire et d’autant plus volontiers que cela permettait au pineur de s’occuper de me seins et de m’embrasser aussi, comme si nous avions été dans plus d’intimité.
    
    On tirait encore son coup au-dessus de mes tétons, en les visant au plus près, mais évidemment la dose se faisait moins forte.
    
    J’étais vraiment heureuse de l’expérience. Je ne comptais plus mes orgasmes qui revenaient aussi facilement que la rosée le matin, pour la plus grande satisfaction de mes partenaires dont la virilité était flattée par mes expressions de joie.
    
    Au fur et à mesure, je commençais à percevoir, chez certains, une sorte de spécialisation. ...
    ... Il y en avait qui étaient plus agiles de la langue et pour lesquels j’ouvrais grand mes jambes. Leurs caresses buccales sur ma vulve et dans le trou m’étaient toujours un bonheur. Je n’étais que gémissements et convulsions quand un petit gros à barbiche me lavait le trou. J’en arrêtais toute autre occupation, me caressant les tétons et me pinçant les lèvres.
    
    D’autres avaient une dextérité avec les mains, quand leurs camarades excellaient à la levrette ou à la sodomie. Chacun ayant ses préférences, ce fut pour moi un florilège de sensations et de positions, qui pour être des plus usitées n’en étaient pas moins fort agréables.
    
    On approchait des deux heures et demie du matin. J’étais trempée de sueur et, malgré les raclages que l’on opérait sur ma peau après chaque éjaculation, j’étais poisseuse de foutre. Il ne restait que quelques garçons en lice, la plupart ayant, comme je le pensais, capitulé après leur deuxième décharge. Mais, en bons mateurs, ils contemplaient les ardeurs des derniers participants. Personne encore ne s’était rhabillé. Quelques-uns peut-être, y étant aptes, attendaient un troisième service. Mais j’étais brisée. J’avais donc résolu qu’après les derniers types qui s’occupaient sur moi, je boirais le calice jusqu’à la lie et irais faire dodo.
    
    C’est alors que Lucien arriva. Il avait dû faire la fermeture de sa boutique. Il n’était pas seul.
    
    Peu avant de tirer son rideau en effet, trois personnes étaient entrées dans son magasin de cul en recherche ...
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