1. L'étudiante sodomisée. (8)


    Datte: 21/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Il ne me fut pas difficile de neutraliser le concierge, un quadragénaire divorcé dont je devinais qu’il était en manque de sexe à la façon qu’il avait de me regarder parfois à la dérobée.
    
    Je découvris Monsieur Ben D’alair, notre moderne Pipelet, le lendemain dans le local à poubelles où je me rendis "fortuitement". Il m’annonça tout de go et en rougissant que le vioc avait dégueulé sa haine et s’était plaint de mon "tapage" dès potron-minet... minet que je lui fis rapidement découvrir. Il me mit sa petite quéquette, droit dans le cul, me sodomisa en deux minutes TTC, remonta son pantalon à la va-vite de crainte de se faire surprendre par un autre copropriétaire. Je lui promis d’aller le retrouver de temps à autre pour vider ses burnes bien pleines en nous y appliquant plus longuement.
    
    Restait le vieux. Il me fallut monter un stratagème avec mes colocs pour le compromettre et lui clouer le bec.
    
    L’occasion ne tarda pas à se présenter quand j’aperçus son abominable petite bonne femme, une vieille bourge coincée ratatinée comme une poire blette sous son chignon d’un autre âge, monter dans le bus sur le trottoir d’en face au moment où je descendais du mien.
    
    J’en déduisis que son mari était seul. Je textotai rapidement à Issan dont je supposai qu’il se trouvait dans l’appart, ce qui était le cas, et lui demandai de me rejoindre dans l’escalier un peu au-dessus du deuxième étage et sonnai chez Monsieur Ballamou, cet atrabilaire qui m’empêchait de jouir tout mon soûl. ...
    ... Il était seul effectivement.
    
    — Bonjour Monsieur... excusez-moi de vous déranger. Je venais vous prier de m’excuser pour le bruit...
    
    — Ah quand même !
    
    — J’aimerais m’excuser auprès de votre charmante épouse également.
    
    — Elle vient de sortir.
    
    — Me permettez-vous d’entrer pour que je lui griffonne un petit mot ?
    
    — Euh... un instant...
    
    Le loup, ou la louve si l’on préfère, était dans la bergerie. Je me glissai rapidement entre lui et la porte pour l’empêcher de refermer à clef.
    
    — Il fait chaud chez vous... Permettez que je me mette à l’aise.
    
    Il ne faisait pas chaud du tout, mais il me fallait bien faire en sorte de ne garder que mon chemisier.
    
    J’avais pensé qu’on m’offrirait un café que je renverserais, mais rien ne vint, car il devait être pressé que je parte, et je dus passer au plan B, maculer moi-même mes fringues avec l’ancre de mon stylo.
    
    — Oh ! Que je suis maladroite... Il faut que je le détache immédiatement... J’y tiens tellement...
    
    — Mais... que... que... que... que faites-vous ? balbutia le vieux comme j’enlevai mon vêtement sous lequel je ne portais évidemment rien.
    
    — Je le détache. Cela ne durera qu’un instant.
    
    — Rhabillez-vous fornicatrice !
    
    — Pour forniquer, j’enlève ma culotte... Nous n’en sommes pas encore là !
    
    — Provoqueuse ! Sortez immédiatement !
    
    — Ils ne vous plaisent pas mes seins ?
    
    J’étais déjà sur lui, qui reculait et se trouva coincé contre la cloison.
    
    — Démon... arrière, arrière !
    
    Je me mis à ...
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