1. L'étudiante sodomisée. (8)


    Datte: 21/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... dès la fermeture de son sex-shop.
    
    Mais, déjà, j’étais entourée de gars et pelotée de partout. J’avais des mains au cul, sur les seins, des doigts dans la chatte et, bien sûr, on cherchait à m’embrasser. Et comme il m’était impossible d’embrasser tout le monde à la fois, on me mit sur une table où, jambes écartées, je pus offrir mes lèvres à celles des mâles qui me firent des bisous appuyés sur la vulve, certains avec leur langue. On discuta pour savoir si on préférait une moule épilée ou, comme la mienne, légèrement débroussaillée. On conclut que ma petite touffe, symétriquement dessinée était supérieure en termes d’excitation à la chatte sans poils. J’étais donc bien chaude déjà quand on me traîna vers un matelas et tout de suite on me mit à quatre pattes.
    
    — Yannick, viens lui ouvrir le cul avec ta grosse trique. Elle est là pour la sodomie les gars, je vous le rappelle, allez-y ! Elle aime ! Dit René.
    
    De fait, beaucoup de ces messieurs qui vivaient en couple avaient rarement l’opportunité conjugale de perforer l’analité, si je puis m’exprimer ainsi, de leurs épouses qui s’y refusaient. De sorte que, dès qu’ils en avaient l’occasion, ils ne se refusaient pas ce petit délice. René leur avait fait l’article en en exagérant, me dépeignant comme une entrouducutée quasi professionnelle qui n’attendait toujours qu’une bonne trique entre les fesses.
    
    Trop occupée par la forêt de glands qui se pressaient devant ma bouche, je ne vis pas qui était l’homme en question, ...
    ... Yannick, un parmi les quinze. Il me repositionna en jouant avec mes jambes pour que je les écarte et les plie comme il lui convenait. Il me lécha abondamment la raie culière, insista sur la rondelle en essayant d’y introduire la langue au plus profond puis je sentis le gel froid au bout de ses doigts qui fouillèrent mon anus, un puis deux puis trois.
    
    Enfin, son gland essaya de perforer mes chairs.
    
    Bien que préparée et relativement accoutumée à la sodomie par mes deux bites domestiques, je ressentis la douleur et dus mettre un bras en arrière pour le freiner dans sa course.
    
    Cela évidemment déchaîna les commentaires : "Ouais, c’est mieux quand c’est serré quand même. Ça va pas le rester longtemps. Elle encaisse bien l’enculade, vraiment... elle devrait pas la prendre plus facilement ? Non, heureusement, c’est mieux quand ça résiste un peu... On va bien lui en fourrer deux belles en même temps tout à l’heure... et dans la chatte... en double ! Oui, en triple même"...
    
    Le dénommé Yannick s’adapta à ma résistance et fit attention à ne pas me faire souffrir. Sa bite était vraiment grosse, le record de la soirée, et je me demandais comment j’avais fait pour ne pas la remarquer plus tôt. Il savait y faire. Je fus bien obligée de cesser de masturber les hommes pour poser mes mains au sol et m’équilibrer. Parfois j’en libérais une pour branler la queue que j’avais en bouche, mais j’étais bien contrainte de faire ainsi pour encaisser les violents coups de queue.
    
    J’entendis un ...
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