1. L'étudiante sodomisée. (8)


    Datte: 21/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... danser en le frôlant une sorte de danse orientale, de façon à faire bouger mes seins sous son nez.
    
    — Déguerpissez... partez d’ici... gourgandine...
    
    — Ils ne te plaisent pas mes nichons mon canard ? T’aimes pas ça !
    
    Il avait détourné la tête pour ne pas voir et mis ses mains en avant pour me repousser, mains qui, fatalement rencontrèrent ma poitrine. Il les écarta comme s’il venait de se brûler.
    
    Je portai ma main à sa braguette. Miracle ! Il bandait.
    
    — T’es tendu mon nounours. Y a longtemps que tu as bandé comme ça ?
    
    Je m’agenouillai et baissai son froc pendant qu’il continuait à se défendre et m’insulter. Son sexe n’était pas trop mal pour son âge, mais il puait l’eau de Cologne. Le vieux gémit quand je le mis dans ma bouche avec beaucoup d’efforts, je dois le dire.
    
    — Vade retro Satanas ! glapit-il mollement.
    
    — Elle est bonne ta queue ! lui répondis-je sans sincérité avant de me la renfiler tout au fond de la gorge.
    
    Il n’arrêtait pas de se plaindre, de dire non, de me traiter de prostituée, de courtisane, enfin de tout ce qui lui passait par la tête. Mais il était vaincu.
    
    Avisant une porte sur ma droite, je me relevai en rajustant son falzar pour qu’il ne se prenne pas les pieds dedans et l’emmenai vite fait vers l’endroit qui, comme je l’avais entrevu était le salon, et je le fis asseoir, tomber plutôt, dans un fauteuil pour reprendre ma fellation. Il continua de protester, mais ne fit pas un geste pour m’arrêter.
    
    Je tirai mon portable de ...
    ... ma poche, appelait Issan qui entra discrètement et prit quelques photos, sans que l’homme, de trois quarts dos ne s’en rendit compte.
    
    Il ne tarda pas à jouir abondamment dans ma bouche. Le sperme, ce n’est pas comme le vin, il ne se bonifie pas en vieillissant. Mais il ne s’affadit pas non plus.
    
    Le vieillard était hagard, ridicule, le slip kangourou sur les chevilles, le bras ballant et la langue ouverte.
    
    Issan m’avait envoyé les photos.
    
    — T’as vu, on n’est pas mignons tous les deux ?
    
    Il me regarda, éberlué.
    
    — Allez-vous-en ! Je ne veux plus jamais avoir affaire à vous !
    
    — C’est dommage. On commençait à bien s’amuser !
    
    Qu’on se rassure. Je n’avais nullement l’intention de me servir de ces photos en mode chantage. Cela ne fait pas partie des valeurs de la maison... Je ne les aurais jamais utilisées contre lui malgré le dégoût qu’il m’inspirait, mais il était bon qu’il soit persuadé du contraire.
    
    Il ne nous dérangea plus jamais et me fuyait dès qu’il me rencontrait, surtout si son laideron acariâtre l’accompagnait.
    
    Nous n’abusâmes cependant pas de la situation et sans baiser moins, nous baisâmes plus discrètement. Heureusement, j’arrivais à contrôler un peu mon extase.
    
    Nous n’eûmes jamais de retour du propriétaire, par contre Monsieur Ben D’alair me rechercha assidûment. De temps à autre, je fis dans le social et lui accordai une petite gâterie par-ci, un petit coup dans le cul par là. Pas plus. Trop rapide et pas assez membré à mon goût.
    
    Ma ...
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