1. L'étudiante sodomisée. (8)


    Datte: 21/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... réputation cependant gagna la gent masculine de la copropriété, au moins en partie. La plupart des mâles étant mariés, je n’eus que quelques offres dont je refusai les plus maladroites par une baffe dans la gueule en précisant que je couchai avec qui je voulais et que toute tentative déplacée ferait l’objet d’un signalement. On me traitait alors de salope et on fuyait la queue entre les pattes. N’empêche. Il faudrait peut-être déménager un jour. Quelques honnêtes pères de famille retinrent mon attention malgré tout, mais, toujours pressés ou à moitié peureux, ils ne firent jamais vraiment l’affaire. Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir.
    
    Issan et Léon assuraient donc mon quotidien, mais je désirais évidemment varier les plaisirs.
    
    Et puis enfin, René et Lucien me relancèrent ! Les affaires sérieuses commençaient.
    
    Il avait fallu du temps pour organiser la petite fête. On voulait que tous fussent disponibles un samedi en soirée. On m’en proposa trois en me laissant le choix dans la date comme on pense bien.
    
    On devait débuter à vingt heures pétantes.
    
    Le délai s’expliquait par la volonté de vérifier la compatibilité de chacun avec une saine pratique sans capotes, hygiène irréprochable.
    
    Je prétextai un week-end de retraite en communauté religieuse pour expliquer les silences de mon portable auprès de mes parents qui m’appelaient fréquemment.
    
    Bien sûr, Léon et Issan seraient de la partie. Ils avaient même réussi à débaucher Dimitri qui, pour un soir ...
    ... avait pu se débarrasser de sa copine. Ils allaient faire baisser la moyenne d’âge.
    
    Car, en effet, mes "actionnaires", comme j’appelais ceux dont j’allais vider les bourses, n’étaient pas des perdreaux de l’année. Le plus jeune avait passé 40 ans, mais on allait jusqu’à 70.
    
    Et puis, on m’avait évidemment fait miroiter une réalité un peu différente. J’étais censée voir de la grosse bite et, certes il y en avait quelques-unes, mais le reste était du tout-venant, voire du petit calibre.
    
    Comme j’en faisais discrètement la remarque à René, il me confessa un pieux mensonge.
    
    — Ce n’est pas avec du vinaigre qu’on attire les mouches... et puis on a trois critères de choix plus que la taille du zob.
    
    — Ah bon ? Lesquels ?
    
    — Discrétion ! Tu peux les croiser demain dans un magasin, ils ne te reconnaîtront pas sauf si tu veux les reconnaître... mais c’est rarement le cas de ceux qui sont mariés.
    
    — OK... et ?
    
    — Endurance... Tu en as pour un très long moment ma jolie.
    
    — On verra.
    
    — Et ils ont tous très cochons. De vrais porcs ! Ils savent y faire. C’est pas du bitos à la petite semaine. C’est des gras qui aiment le cul, qui aiment jouir et faire jouir.
    
    De fait, ils bandaient déjà quand j’étais entrée sous un tonnerre d’applaudissements et de propos grivois.
    
    — Belle pouliche ! Beaux petits obus. Joli petit cul. J’ai hâte de me la mettre au bout, etc.
    
    Comme je m’étonnais de l’absence de Lucien, on me rappela qu’il tenait boutique et qu’il nous rejoindrait ...
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