1. Promenade au bois et balade en forêt


    Datte: 20/11/2022, Catégories: ff, inconnu, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, uro, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... sournoisement, la boucle juste sur une vertèbre, en plus… Bon, puisqu’il n’y personne en vue, si je l’enlevais ? Il me suffit de le garder à portée de main en prévision de tout bruit suspect.
    
    Sitôt dit, sitôt fait. Je revis. C’est si bon de se sentir libre. L’idée me vient d’abandonner aussi la culotte. Après tout… Non, un reste de prudence pudique me retient. Je me contente de la faire glisser un peu pour relâcher la tension aux aines, histoire d’aérer la minette sans l’exposer. Enfin je peux me relaxer sans contrainte. Le tapis d’aiguilles de pin ne fait pas un si mauvais matelas. Le brin d’air ajoute au charme. Je me laisse aller à une douce somnolence.
    
    Et zut ! La nature me réveille. Pas le chant des oiseaux, mais la pression de ma vessie. Je tente de résister à sa sollicitation, rien à faire, elle insiste, le thé du matin sans doute. J’aurais dû y penser avant de partir. Il me faut trouver un coin pour baisser sans risque cette sacrée culotte et satisfaire aux nécessités du moment.
    
    Balade en forêt (Colette)
    
    Je ne suis pas très portée sur les choses de la religion, mais je ne vais pas négliger le week-end de repos que m’offre la tradition chrétienne ! Allez, hop ! C’est le jour parfait pour une balade sous les pins maritimes. Juste quelques kilomètres de bitumes à rouler avant de garer ma voiture en bordure d’une forêt paradisiaque et me voici allongeant gaiement le pas hors des sentiers battus.
    
    Un seul regret : je n’aurais pas dû traîner si tard au lit. ...
    ... Le soleil est presque au zénith, il commence à faire vraiment chaud, même vêtue léger. Bien la peine d’avoir pris une douche ! Je suis déjà en sueur. En plus, les arbres sont peu serrés de ce côté-ci de la colline. J’ai hâte d’atteindre les bosquets, mais la nature est silencieuse à cette heure. Je ne veux pas troubler ce calme. J’avance sans faire de bruit, je sais être discrète.
    
    Oh, mais qu’est-ce donc que cette tache rose que j’aperçois entre les branches ? Je m’approche à pas de loup (de louve !), et je vois mieux : tiens, tiens, une paire de jolies fesses, à peine devinées, la coquine est de dos, elle se croit seule… que vais-je faire ? Me faire oublier, ou surgir ?
    
    Je m’interroge, amusée de l’incongruité de la situation. Mais ne serait-ce pas une façon originale et rigolote de faire connaissance ? Après tout, je suis certaine que nous ne sommes que toutes les deux ; les derniers promeneurs que j’ai croisés sont loin, et cette clairière est tout à fait à l’écart du chemin normal. Si ça se trouve, elle s’est égarée, la pauvre ! Et si je fais semblant de l’ignorer pour ne pas la gêner, elle risque de se perdre pour de bon… C’est un bon prétexte, ça, pour donner un semblant de bonne raison à mon irruption dans ses occupations…
    
    Mais je ne peux résister plus longtemps à ma curiosité : une minette en train de libérer son jet trop longtemps retenu, ça m’a toujours attirée ; je suis comme ça, j’aime surprendre une chatoune dans son intimité secrète… Toujours sans bruit, ...
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