Orphelin
Datte: 18/11/2022,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fplusag,
religion,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... dépanner. C’est sa mère qui m’ouvrit et qui me dit que, le mercredi après-midi, Sandra allait au conservatoire où elle suivait des cours de second cycle et de violon. Elle ne rentrerait pas avant au moins dix-huit heures. J’allais repartir déçu, mais elle me fit entrer tout de même.
— Entrez, entrez, mon cher Jérôme. Si, si, j’y tiens. Je ne vous ai pas revu depuis ce second… terrible deuil qui vous a touché. Mon pauvre. On a beaucoup prié pour vous. Comment allez-vous ?
— Comme je peux, Madame, comme je peux…
— Hélas, mon pauvre garçon… Je peux vous offrir un thé, ou un jus de fruits peut-être ?
— Je vous remercie, non, je n’ai envie de rien… je n’ai plus envie de rien…
Elle était visiblement embêtée, se disant sûrement qu’elle n’aurait pas dû me faire entrer. Mais la charité chrétienne… Elle avait un peu changé de look, s’était fait friser les cheveux, les tirant sur les côtés pour un petit chignon au sommet de la tête. Elle paraissait ainsi un peu plus grande, et ses talons aussi devaient être plus hauts. Elle portait un chemisier blanc avec des broderies, et une petite jupe étroite. Tout cela mettait, sagement, ses formes en valeur. Je me surpris à bander en entrevoyant le début de la courbe d’un sein par son décolleté.
— Voyez-vous ce qui manque le plus dans le fait d’être soudain seul au monde, c’est la tendresse, l’affection, larmoyai-je un tantinet faux-cul.
— Oh mon pauvre… bien sûr que je comprends. Mais c’est quelque chose qu’on peut vous offrir, chez ...
... nous. Vous savez à quel point on tient à vous, à quel point Sandra vous tient en haute estime dans son cœur ! Et moi aussi d’ailleurs. Venez, laissez-vous aller, pleurez si vous en avez besoin, je vous ouvre les bras…
C’est bien ce qu’elle fit et je jouais le jeu à fond, pleurnichant sur son épaule, collé à elle, tandis qu’elle me caressait le dos. Fourrant le nez dans son cou, je lui dis combien sa peau était douce et combien elle sentait bon.
— Pourtant je n’ai pas mis de parfum aujourd’hui, comme je n’avais pas à sortir…
— Hum ! … Alors c’est vous, votre peau, qui sent si bon la cannelle, la mangue ou je ne sais quel fruit exotique…
— Oh que vous êtes mignon… Humez, mon chéri, si cela vous fait plaisir…
Mon nez s’est promené autour de son cou pour descendre dans son décolleté, tandis que mes mains lui prenaient la taille et la serraient contre moi. Elle ne pouvait pas ne pas sentir la gaule qui palpitait contre sa hanche puis son ventre. Ses mains continuaient de se promener dans mon dos, sa respiration se fit plus courte. Je passai de humer simplement à déposer de petits bisous un peu partout, et notamment sur la naissance de ses seins, zone très douce et très tendre. Elle fit mine de vouloir s’écarter, mais avec très peu de conviction, rien que je ne pus maîtriser en plaquant une main sur ses fesses.
— Oh ! … Oh ! … Mais Jérôme, que faites-vous ?
— Je me régale, Madame. C’est si bon…
— Tout de même… Vous allez un peu loin…
— Hum… votre peau… je voudrais ...