Orphelin
Datte: 18/11/2022,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fplusag,
religion,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... pouvoir la lécher… la croquer… vous êtes si douce… si tendre… si délicate… je voudrais vous déguster partout…
— Hou ! … Hou ! … Jérôme… soyez sage…
— Mais comment rester sage devant une telle gourmandise ? … Hum… Solange… vous êtes délicieuse… j’ai une envie folle de votre bouche…
— Hum… hum… rôme… hummmmmm…
Baiser profond, très profond, très très long, accompagné d’un pétrissage en règle d’une fesse et d’un sein. Elle réussit à se dégager, écarlate et embuée d’une légère sueur.
— Jé… Jérôme… mais que nous arrive-t-il ? … Il ne faut pas… Ce n’est vraiment pas bien…
— Ce n’est sûrement pas bien, mais qu’est-ce que c’est bon ! Dans vos bras, j’ai l’impression de revivre, lui dis-je et l’attrapant par une main pour la rapprocher de moi.
On va bien voir si Frane a raison et si je suis susceptible d’éveiller des tentations. Je dégrafe mon jean et sors mon sexe dressé, lui plaquant la main dessus.
— Regardez comme vous me faites envie. Touchez ma verge tendue pour vous, belle dame, faites-moi du bien, donnez-moi du bonheur…
— Oooohhhh ! Mon Dieu, Jérôme ! Vous êtes… magnifique ! Quel beau mâle ! Quel bel engin ! Oh… mais qu’est-ce que je dis, moi, une femme mariée ? Mon Dieu, pardonnez-moi…(elle se signa)
— De quoi donc ? Vous n’avez pas encore fauté. Mais je suis sûr que vous en mourrez d’envie. Faites voir ?
Je relevai d’un coup sa jupe et lui mis une main entre les cuisses. Elle eut comme un hoquet.
— Mais vous êtes toute mouillée, Solange.
— Hui ...
... !(c’était un « oui » haut perché comme le cri d’un serin).
— Donne-moi tes seins, Solange. Donne-moi tes fesses, donne-moi tes cuisses, donne-moi ta chatte…
— Hui ! … hui, hui !
En quelques secondes elle fut nue et moi aussi. Elle avait gardé ses escarpins pour être plus « à hauteur », mais malgré tout, elle ne m’arrivait qu’à l’épaule. En me penchant sur elle, je ne cessais de lui fouiller la bouche en pétrissant ses fesses grâce à mes longs bras. Elle s’était emparée de mon sexe et ne le lâchait plus, fascinée par « la bête ». Si bien qu’elle tomba à genoux sur le tapis pour entamer une délicieuse fellation. Hé ! Pas maladroite, la bourgeoise ! Ses gros nichons ballottaient lourdement. Elle était vraiment dodue, et je me pris à me demander ce que je faisais là alors que j’allais retrouver une si belle nana en rentrant. Mais trop tard. L’interdit, le sentiment de n’avoir plus rien à perdre, une revanche sur la vie, il fallait que je saute cette femme potelée et molle. Sa toison était en friche, bien qu’assez peu fournie. Je la basculai sur le dos, lui laissant pomper mon dard, et j’engouffrai mon groin entre ses lourdes cuisses, infiniment douces, je dois le reconnaître. Elle couinait et mouillait abondamment. Ma queue n’eut aucun mal à la pénétrer, mais sa dimension lui fit aspirer l’air d’un coup, comme une soudaine surprise. Moi aussi je fus surpris, par cette sensation étrange d’une chatte grassouillette à l’intérieur, comme son corps à l’extérieur, une grotte tapissée ...