1. Les enfants du Bon Dieu (6)


    Datte: 17/11/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... mes poignets pour se coller tel un bâillon sur ma bouche. Et je subis une intromission lente, ponctuée de petites baffes sans vraies forces sur le derrière. Et la cadence d’un coup s’accélère. Je dois avouer que c’est plutôt jouissif de se trouver possédée ainsi. La bouche de Maxime est désormais proche de mon oreille.
    
    — Tu aimes ça ? Dis-le-nous si tu aimes ce que ton homme te fait.
    
    — …
    
    — Ne crains rien. La fessée n’est qu’un jeu et il n’y aura pas de coups plus forts que ceux que tu viens de recevoir… Il te baise bien ton mari… et il a besoin d’être encouragé. Seules tes réponses sont de nature à engendrer dans ce genre de situation une envie plus conséquente. Il a besoin de t’entendre le stimuler. Tu peux et dois lui dire que tu adores cette nouvelle façon de te prendre.
    
    — …
    
    Je ferme les yeux, emportée par les élans de cette queue qui me laboure le ventre. Et je me laisse bercer par les aller et retour, mais aussi par la magie de ces petites claquettes qui font frémir mon postérieur. Alors sans plus y songer, je râle, et me mets à marmonner des mots sans suite. Mais l’effet est vraiment immédiat. Le rythme des coups de reins s’accentue et je sens que Michel bande de plus belle. Il ne peut plus se concentrer sur deux choses en même temps et se limite à me faire l’amour avec une incroyable force.
    
    Je ne me souviens absolument plus du moment où je me suis mise à hurler littéralement. Pas plus que je ne me rappelle l’instant où mes bras ont retrouvé leur ...
    ... liberté de mouvement. Non plus de cette nouille molle qui s’est mise d’un coup à flirter avec mes lèvres. L’ai-je happée parce que j’avais la bouche entrouverte pour chercher de l’air ? Ou bien est-ce arrivé par envie ? Pas la moindre trace de honte dans cet élan pour tenter l’impossible. Redonner une vie à la bite morte de Maxime.
    
    C’est moi qui ai pratiquement exigé d’être emmenée dans la salle secrète, mon corps restant demandeur d’absolu. J’ai pu choisir ainsi, parmi ces machines qui défient toute normalité, celle sur laquelle je pourrais défouler une tension montée à son paroxysme par le bizarre de la situation. Aucun d’entre eux ne bronche, attendant que je désigne du menton ce que je veux étrenner. Et mon choix se porte sur ce X majuscule, croix du diable plus que celle d’un ange.
    
    Alors sans que je ne bouge d’un iota, mes mains retrouvent d’autres entraves sous forme de bracelets qui les maintiennent levées. Parallèlement à ces attaches de mes membres supérieurs, le second type de la soirée s’active à immobiliser aussi mes chevilles. Mes jambes sont largement ouvertes et je juge la posture indécente. Elle offre à leur vue cette touffe brune sous laquelle les grandes lèvres sont encore luisantes des sécrétions de la première possession. Je ferme les yeux pour ne pas montrer l’émoi qui me submerge.
    
    Je garde mes paupières closes tout au long des tripotages en tout genre qui affluent maintenant. Peu m’importe quelle patte me triture, quelle langue me lèche, je me ...
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