1. Les enfants du Bon Dieu (6)


    Datte: 17/11/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... mal. Il s’agit d’une sorte de petite pièce métallique munie d’une vis et d’un anneau. C’est lorsque Maxime pince entre son pouce et son index un de mes tétons que je comprends où il veut en venir.
    
    Il malaxe quelques secondes la pointe de mon sein et les deux mâchoires de sa bête de métal sont disposées de part et d’autre de la tête brune. Puis il se met à faire tourner le papillon qui resserre lentement les deux parties mobiles de son étau miniature. Michel semble subjugué par la manière de faire, simple et efficace de son nouveau mentor. Je respire plus fort au fur et à mesure que les deux pièces aplatissent le bout de mon nichon.
    
    — Tu vois, elle commence à réagir. Encore un ou deux tours de vis et ses sensations vont changer. Elle va être plus douce, comme une agnelle, et faire tout ce que nous lui demanderons. Tu veux poser la deuxième pince ? Au moins tu verras comme c’est facile.
    
    — Ben… oui ! Je veux bien essayer.
    
    Je secoue la tête de gauche à droite dans un geste de dénégation. Mes mâchoires sont serrées et je sens que le sang compressé dans mon téton commence à irradier une douleur à l’ensemble du sein. Michel alors tranquillement suit les conseils avisés de son ami « Max ». Et après avoir trituré également le second point sensible de ma poitrine, il se met en devoir de fixer la pince d’un genre si spécial. Et il a encore une fois raison. Ma perception de cette douleur lancinante inattendue change.
    
    Je bloque ma respiration, comme si le fait de ne plus ...
    ... bouger ma cage thoracique pouvait alléger cet élan de souffrance. Mais Maxime montre à mon mari qui vient de terminer sa pose que pour que mon « bonheur » soit total, il suffit de secouer mes mamelles. Et lui ne se fait pas prier pour les soulever avant de les relâcher en me fixant dans les yeux. Un filet de bave me coule le long du menton. Je dois avoir une piètre allure ainsi écartelée et ferrée de la sorte. C’est là que sur les anneaux mon bourreau accroche deux poids.
    
    Je ne sais pas s’ils sont vraiment lourds, mais suffisants bien entendu pour tirer vers le bas les deux étaux qui me procurent d’horribles frissons. Et je ne peux pas pencher mon corps pour accompagner le mouvement des boules de plombs qui déforment mes seins. Il me faut aussi reprendre de l’air et mes respirations saccadées amplifient une sensation de brulure de tout le haut de mon corps. Malgré le bâillon, j’ai des gémissements continus et les deux mâles semblent satisfaits. Maxime revient murmurer à mon oreille.
    
    — Allez ! Libère-toi ! Pisse et je retirerai les pinces… tant que tu n’auras pas compris que tu dois faire ce que l’on te demande, tu risques de souffrir. Mais je tiens aussi parole, il n’y a jamais de marques visibles après ce petit traitement et en général celles qui y sont soumises en retirent un certain profit.
    
    — … mmm !
    
    Il sourit de m’entendre vociférer sans que mes mots en deviennent plus audibles pour autant. Je refuse encore d’uriner de cette façon ! Je veux tenir bon ! Mais pour ...
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