1. Le matelas : mousse ou ressorts ?


    Datte: 14/11/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, extracon, essayage, vengeance, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... même pas ma culotte, juste repousse le peu de tissu qui couvre ma fente et plaçant son mandrin, me prend d’une ruade. Je ne peux retenir un cri que les murs de matelas doivent amortir. Je suis dans un couloir de mousse.
    
    — Ça va ? il questionne inquiet de ce cri que l’on peut croire de douleur, mais qui n’est que de surprise.
    
    Surprise de cette entrée en matière si virile. Surprise qu’il soit entré si facilement, apportant la preuve que moi aussi j’avais une envie folle.
    
    — Oui… C’est juste que… continue… C’est bon.
    
    Oh, il continue.
    
    Il me bourre. Il me baise. Son sexe est un bâton, gros, long, brûlant, qu’il pousse si loin qu’il doit explorer des profondeurs n’ayant jamais connu telle avancée.
    
    Il s’agrippe à mes hanches.
    
    Il s’accroche à mes épaules.
    
    Il me couvre de son corps. Se redresse.
    
    Il se calme. Caresse mes seins, s’en saisit comme des amarres pour reprendre son action.
    
    Et moi, je suis cette femelle qu’il baise. Je tourne parfois la tête pour le regarder. Son visage est concentré. Il a les yeux fermés. Il y a une éternité, même avant mon mari, qu’on ne m’avait possédée ainsi. Même ce matin, c’était plus classique. Pas d’amour, que du sexe, la recherche du plaisir. Une rencontre entre deux inconnus. Une qui ne demande que cela… subir… se sentir aussi un objet de désir qui excite l’homme par sa façon de se laisser faire…
    
    Et mon Dieu que c’est bon ! J’ai glissé ma main vers mon clitoris que je caresse doucement. Mes doigts touchent la queue ...
    ... humide qui me possède. Je fais plus que gémir, enfin je crois, car je me sens submergée par la jouissance. J’ai juste la pensée que la camionnette capitonnée est une boîte close, hermétique d’où pas plus les cris de plaisir que la culpabilité ou que la honte, ne sortent.
    
    Il attrape mon chignon qu’il tire vers lui. Je me cambre si fort que seul mon bassin porte encore sur le matelas. Je suis en quasi-lévitation. Il me bourre encore plus, encore plus fort. Son sexe glisse dans mon vagin déformé.
    
    C’est bon ! C’est bon ! Je jouis encore… ou bien est-ce une jouissance sans fin !
    
    Il vient. Il le dit. Ce sont des « Je viens, je viens » si chargés de plaisir que je me sens fière de tant d’envie.
    
    Quelques mouvements encore qui accompagnent son éjaculation. J’attendais… mais non, idiote… il a une capote !
    
    Il me couvre. Je sens les boutons de sa chemise sur mon dos. Il n’a enlevé que le strict minimum pour ne pas perdre de temps.
    
    — Excuse-moi.
    
    Il s’est retiré et s’est assis à côté de moi.
    
    — Je n’ai pas pu résister. D’habitude je suis plus… Mais j’avais tellement envie. Qu’est-ce que tu vas penser de moi ? Ne penser qu’à ma pomme… Je ne comprends pas, je m’étais promis de me contrôler.
    
    Je me relève. Moi aussi, je m’assois. Je passe une main délicate sur son visage.
    
    — Ne t’excuse pas. C’était très bon. On ne m’avait plus prise ainsi depuis une éternité. Mon mari…
    — Tu es mariée ?
    — Allons, Romuald, tu es capable de regarder un bracelet à la cheville et pas ...
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