1. Le matelas : mousse ou ressorts ?


    Datte: 14/11/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, extracon, essayage, vengeance, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... avoir couché avec un camelot, à l’arrière d’une camionnette, un peu comme une pute qu’on ramasse en bord de route.
    
    Mais ce n’est pas la seule raison. Cette rencontre m’a ouvert « l’appétit », j’ai retrouvé les sensations d’avant mon mariage, du temps où j’étais maîtresse de mon avenir, libre, ne me laissant guider que par le plaisir.
    
    — Je vais faire un tour.
    
    Je dis sur le coup des 17 h 30, en sortant le vélo du garage.
    
    Le camping est un peu loin à pied et avec la voiture peut-être des problèmes de stationnement.
    
    — Avec cette robe ? On va tout voir ! dit mon mari qui semble découvrir mon achat. C’est vrai qu’elle n’est pas adaptée au sport, mais dans ma tête cette robe est la marque de mon infidélité et d’une certaine façon un porte-bonheur.
    — C’est prévu pour.
    
    Et je pars. Il doit « digérer » la remarque, moi qui ne l’ai pas habitué avec une telle liberté de paroles.
    
    Il n’est pas seul. Le vendeur de sacs est avec lui et je comprends à la tente montée devant la camionnette et un petit utilitaire, qu’ils doivent se la partager. Ils sont tous les deux tranquillement installés dans un transat avec un verre à la main. Dès que je m’approche, Romuald se lève et vient à ma rencontre. Son sourire me donne la force, car à mesure que je pédalais pour venir je m’interrogeais.
    
    Il m’aide à poser mon vélo. Par la main, il m’entraîne face à son copain.
    
    — Nadia… Noël… Noël… Nadia.
    — Oui, c’est bien Noël, il ne se trompe pas. Des parents sans beaucoup ...
    ... d’imagination.
    — Bonjour.
    — Bonjour.
    
    Mais déjà il m’entraîne vers son camion, ouvre la porte, me cède le passage, je monte, il me suit. Je me retrouve devant un mur de matelas. Ce matin, évidemment sa marchandise était exposée. Ce soir, elle est stockée. Il y a toujours des matelas sur le sol, mais de chaque côté d’autres font comme une paroi. On devine qu’ils sont immobilisés par des sangles, car quelques-unes pendent encore du plafond.
    
    Ce spectacle qui m’interpelle ne trouble pas mon amant. Déjà il s’est plaqué contre mon dos et ses lèvres courent sur ma nuque. Il me caresse le corps par des mains avides. Très vite il attrape les deux brins de la ceinture en défait le nœud, déroule le ruban de ma taille et ouvre ma robe. Il s’éloigne une seconde, le temps de la faire glisser au sol avant de se coller à nouveau. Je sens son sexe contre mes reins. Il bande déjà. Je souris intérieurement en pensanttu lui fais un sacré effet, et passe ma main entre nous pour en vérifier la réalité. C’est un bâton qui déforme son short.
    
    Mais d’une main puissante, il appuie sur ma nuque et, me poussant de son corps, m’approche des matelas qui font un lit très haut, un peu comme le lit de nos parents et grands-parents. Il me fait comprendre de me pencher et je me retrouve allongée sur une couverture avec les pieds encore au sol. En tournant la tête, je le vois enlever son short et aussitôt envelopper son sexe d’une capote. Instinctivement j’écarte mes jambes. Je sais ce qu’il va faire.
    
    Il n’enlève ...
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