1. Le matelas : mousse ou ressorts ?


    Datte: 14/11/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, extracon, essayage, vengeance, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... l’alliance à mon doigt ? Rassure-toi mon mari ne viendra pas nous déranger.
    — Cela t’arrive souvent ?
    — De le tromper ?
    — Oui.
    — Jamais. Tu es mon premier amant depuis mon mariage.
    — Sérieux ?
    — Oui.
    — Waouh. Tu me mets la pression.
    
    Je ris.
    
    — Rassure-toi, pour l’instant tu assures très bien.
    
    Un ange passe. Je baisse les yeux. Son sexe est alangui sur sa cuisse, encore recouvert de sa protection, baignant dans un fluide qui de cette façon paraît peu appétissant.
    
    Je n’ai pas osé parler de ma vengeance. C’est un peu tôt. Je voudrais le motiver afin qu’il accepte. Peut-être qu’il ne veut pas apparaître sur une vidéo, même si elle est censée être privée. J’ai moi-même eu l’idée de faire des copies de celles de mon mari avec sa stagiaire pour les diffuser à leur travail, mais je n’ai heureusement pas cédé à la tentation.
    
    Sa chemise avantageusement ouverte laisse apparaître une toison brune où je plonge ma main. Je la caresse, c’est doux, soyeux. Je flatte de ma paume un téton, tétons d’homme qui pourtant ont leur sensibilité. Les boutons que je sentais contre mon dos se laissent apprivoiser. Je repousse lentement le tissu qui passe la barrière des épaules et tombe le long des bras.
    
    Il veut m’attirer à lui.
    
    — Laisse-moi faire…
    
    Il ne résiste pas alors que je l’invite à s’allonger.
    
    Je l’embrasse à pleine bouche. Mes lèvres déposent des baisers tout au long d’un chemin qui conduit plus bas. Je m’arrête longuement sur les tétons. C’est Alain qui m’a ...
    ... montré qu’un homme pouvait apprécier. Il ne doit pas avoir l’habitude, mais une fois passée la surprise, mes lèvres et la paume de mes mains sont acceptées avec reconnaissance.
    
    Mais je descends, sillon de baisers et de léchouilles. Le sexe est là, toujours au repos avec pourtant une sorte de vibration. Délicatement j’en retire le préservatif qui me confirme que le sperme a été généreusement produit. Je le pose à terre.
    
    — Tiens, prends.
    
    Il me tend un mouchoir. J’imagine que c’est pour l’essuyer. Mais je veux lui faire une belle démonstration. Je refuse et en soulevant par deux doigts la bite qui revit, je la prends en bouche.
    
    Je sais que ce n’est pas raisonnable. Qu’on ne doit pas faire cela avec n’importe qui, mais pour me venger je suis prête à tout.
    
    Je le suce. Son sexe garde des traces de son plaisir, mais cela ne me rebute pas. Il y a longtemps, même avant mon mariage, que je sais comment faire. Combien de fois ai-je soutiré de mon mari son foutre ? Toujours, chaque mois, lorsque je suis « perturbée » et que je lui reconnais une envie. Mais pas seulement. Je sais que l’on pourrait me traiter de vicieuse, mais il y a quelque chose dans la fellation bien menée avec le jus d’Alain que je recueille dans ma bouche, oui, quelque chose qui m’excite, et croyez-moi dans ces cas-là je sais comment le sucer à nouveau pour lui redonner sa vigueur.
    
    Mais c’était avant. Avant que je découvre mon cocufiage et depuis « tintin » pour lui.
    
    Il gonfle et déjà j’ai du mal à ...
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