1. Conséquences de la crise Covid et d'une prothèse


    Datte: 08/11/2022, Catégories: fh, hagé, médical, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, intermast, Oral 69, préservati, pénétratio, confession, nostalgie, rencontre, Auteur: EmmaJm, Source: Revebebe

    ... les mordille et recommence encore et encore. Quand je suis certain qu’ils sont tout propres, je termine par un énorme coup de langue des doigts au poignet, en passant par la paume. La manœuvre la surprend et elle retire vivement sa main. Trop intime pour elle ?
    
    — Aissah, j’adore votre goût ! Mais j’en ai eu bien trop peu et en plus ça arrive presque froid.
    
    Ma mauvaise foi évidente, bien que masquée par un compliment très mérité, la laisse muette. J’en profite pour pousser mon avantage.
    
    — Aissah, je veux goûter à votre source, directement. Je veux boire votre liqueur et je veux déguster toute votre intimité. Je veux aussi vous faire du bien, vous donner un instant de plaisir.
    
    J’aurais bien continué la litanie de mes désirs, mais elle me coupe, entre colère et sanglots :
    
    — Impossible ! C’est trop, je ne peux pas, je ne dois… Je n’aurais pas dû vous laisser faire tout ça…
    — Aissah, chère Aissah… Vous m’avez beaucoup plus donné que je pouvais rêver et je ne parle pas que du plaisir du sexe… Vous m’avez donné de la chaleur humaine dès que vous êtes entrée dans ma chambre alors que j’en étais privé depuis longtemps. Moi, je veux vous donner de la tendresse et du plaisir dont mon intuition me dit que ce n’est pas votre quotidien. J’ai du respect pour vous et je ne veux rien faire qui vous déplaise, mais vraiment je crois que vous méritez votre part de plaisir.
    
    Elle a les larmes aux yeux quand elle répond :
    
    — Vous êtes incroyablement gentil avec moi et j’aime ...
    ... ce que vous me dites. Mais regardez, c’est impossible, comment voulez-vous ? N’importe qui peut rentrer !
    — Aissah, vous savez bien que vous êtes seule intervenante à l’étage cette nuit, personne pour ouvrir cette porte. Essayons, voulez-vous ?
    
    D’une toute petite voix :
    
    — Comment ?
    
    Il s’agit de vite trouver une solution, avant qu’elle ne recule devant la difficulté et les remords.
    
    — Vous allez monter sur le lit, vous mettre à genoux au-dessus de moi, de façon à ce que vos cuisses entourent ma tête. Vous pourrez…
    — Oui, stop, j’ai compris ! Mais je ne veux pas, je ne peux pas, être nue devant vous !
    — … !
    — On va faire comme vous avez dit, mais je ne baisserai qu’un tout petit peu mon pantalon, comme ça vous pourrez… vous pourrez… enfin, voilà, quoi !… Et puis, éteignez la lumière… s’il vous plaît !
    
    Comme je ne réponds rien, manifestant ainsi mon doute, ma déception, elle ajoute, timide :
    
    — J’ai très peur de ce que vous voulez me faire faire… mais j’ai très envie de le faire…
    
    Je sens que ça va être compliqué, mais comment faire autrement sans risquer le blocage ? Je la laisse s’installer au-dessus de moi et après quelques contorsions la voilà prête à baisser son pantalon, attendant que j’éteigne. Ceci fait, j’entends le bruit du tissu qui glisse et Aissah se déplace pour être accessible, ses genoux sont au-dessus de ma tête, ses cuisses vers mes oreilles, très serrées à cause du pantalon à moitié baissé.
    
    Je tends le cou et ma joue se pose, enfin, sur ...
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