1. Conséquences de la crise Covid et d'une prothèse


    Datte: 08/11/2022, Catégories: fh, hagé, médical, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, intermast, Oral 69, préservati, pénétratio, confession, nostalgie, rencontre, Auteur: EmmaJm, Source: Revebebe

    ... écha », rien à voir avec une chanson. Dormez bien ! À demain…
    
    Son ton plutôt mutin et le bout de tissu abandonné sur mon torse ne vont pas m’aider à dormir !
    
    Quand arrive le petit-déjeuner, à sept heures et demie tapantes, j’ai l’impression de venir de m’endormir… Fatigué. Humeur maussade. Rien ni personne pour me dérider. La journée se traîne, comme moi et la soirée s’éternise.
    
    22 h 30, 23 h, 23 h 30 le pouce me démange d’écraser le bouton d’appel : pas trop tôt, ce ne serait pas ELLE, ou ELLE aurait trop d’autres appels en parallèle…
    
    Minuit… Minuit et demi… Je craque !
    
    Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre et elle pénètre dans la chambre :
    
    — Voilà le pack de froid. Avez-vous besoin d’autre chose ?
    
    Son ton joyeusement moqueur me fait fondre. Elle est tout contre le lit, à ma hauteur, avant que j’aie trouvé à lui répondre, la gorge nouée : j’avais si peur que le fil ténu de notre nouvelle complicité soit rompu !
    
    Elle s’assoit sur la chaise, se penche pour se déchausser puis très vite vient poser un pied puis deux sur mon estomac.
    
    — Reprenons où en étions-nous ?… Si les chaussettes vous dérangent, ne vous gênez pas. Longue journée, un petit massage ne serait pas de refus…
    
    Je m’active aussitôt. Les chaussettes disparaissent bien vite pour me laisser couvrir de baisers les pieds de Mâdâme. Je commence sagement mon massage par les fines malléoles, puis descends vers les orteils, que je prends à tour de rôle. Aissah manifeste son approbation ...
    ... par de légers soupirs. J’alterne léchouilles entre les orteils et roulers-palpers. La fréquence des soupirs augmente ce qui me fait chaud au cœur… et pas qu’au cœur ! J’arrête mes léchouilles et dans le même temps remonte mes mains sur un mollet, le palpant délicatement : la peau en est si douce. J’essaie de remonter encore, mais le pantalon m’interdit d’atteindre le genou. Moi qui rêvais d’aller bien plus haut ! La frustration me rend exigeant :
    
    — J’ai été déçu par votre culotte, j’y ai trouvé votre bonne odeur de femme, mais c’était froid et je n’y ai pas découvert le goût de votre intimité. Peut-être n’était-ce que quelques gouttes de pipi oubliées…
    — … !
    — Faites-moi goûter, là, maintenant, avec vos doigts. Je veux vos doigts en vous puis dans ma bouche.
    
    Pas de réponse, pas de réaction.
    
    J’attends en continuant à masser, ou plutôt à caresser un mollet. Au fil des papouilles l’autre jambe s’était éloignée, le talon se posant dans un premier temps sur mon nombril, pour s’arrêter un peu en dessous. La situation me met dans une tension érotique que je ne connaissais plus depuis longtemps. Je peux continuer ainsi longtemps.
    
    Aissah se tortille un peu sur la chaise, glisse une main dans son pantalon, la main s’active et ressort rapidement.
    
    J’ouvre la bouche, me pourlèche les babines et tire la langue, attendant mon offrande. Dès qu’ils sont à portée, je gobe les doigts tièdes, odorants et largement enduits de la liqueur de plaisir d’Aissah. Je les suce, les lèche, ...
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