1. La Plantation


    Datte: 06/11/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... l'inventaire, n'est-ce pas? Elle faisait partie intégrante de la nomenclature.
    
    Il a évoqué de s'occuper de la dette et des créanciers, en échange du domaine. Jennifer le regardait avec de la douleur dans ses grands yeux. Il y avait de la peur dans ses yeux mais aussi, un air terrible d'ambition. Un mélange d'envie, de cupidité, d'orgueil et de désir. Dites-moi ce que c'était, je ne pourrais pas le décrire correctement.
    
    C'était comme si l'ouragan avait soufflé quelque chose hors d'elle. Sa conscience, sa morale... Il a tendu le bras.
    
    «Viens ici, Jennifer» dit-il calmement.
    
    Jennifer m'a regardé. Tant de choses dans ce regard. De la crainte oui, mais du mépris aussi. Comment as-tu pu nous foutre dans ce merdier? Je l'ai regardée hésiter, puis se diriger lentement vers lui. J'ai regardé Léon l'attirer, l'inviter à prendre place sur ses genoux. Elle n'a pas protesté, ni rechigné. L'issue était inéluctable, n'est-ce pas?
    
    Elle a été attirée dans son étreinte. J'ai regardé Léon l'embrasser sur les lèvres. Ce n'était pas baiser rapide, juste effleurer du bout des lèvres, au contraire c'était appuyé et sensuel. C'était comme s'il la goûtait, évaluait son potentiel.
    
    Il l'a enlacée. Sa main est descendue sur son short, l'a déboutonné et ouvert. Jennifer n'avait rien dessous, sauf sa chatte ornée de poils blonds et humides.
    
    «Embrasse-moi mieux que ça» ordonna-t-il.
    
    J'ai regardé ma femme ouvrir sa bouche et la verrouiller sur la sienne. La langue qui explore, ...
    ... apprécie, cajole. Plus je les regardais, plus je comprenais. Merde. Elle le voulait. Elle était prête pour lui.
    
    C'était une autre tempête, un ouragan qui emporte tout. Je l'ai regardé glisser ses gros doigts dans son short en jean. Je l'ai regardée écarter ses jambes pour lui faciliter l'accès vers sa chatte mouillée. J'ai regardé ses gros doigts glisser sur son clitoris. Je l'ai regardé mettre ses doigts en elle. Elle haletait et gémissait.
    
    Elle haletait en se cambrant sur sa grosse main. Dans son chemisier, ses tétons durs comme le roc pointaient. Elle gémissait tandis qu'il la touchait, les yeux fermés, la bouche vorace. Elle tremblait contre lui, sur ses doigts fouilleurs, son corps répondait instinctivement.
    
    «On va bien s'entendre, tous les deux, Jennifer. Tu aimes les hommes dominants, j'aime les chiennes soumises. Ton petit gars, Robert, il va aller vivre dans les cabanes, travailler dans les champs, comme les autres cloches. Toi et moi, Jennifer, on va être les maîtres ici maintenant.»
    
    Je les ai regardés en me tassant sur ma chaise, prêt à bondir. Le putain de salaud, il voulait me prendre ma femme. Alerté par mon agitation, il se retourna et me regarda, Jennifer sur ses genoux, sa main entre ses jambes.
    
    «Ferme ta gueule» gronda-t-il, comme si j'avais parlé «tu fermes ta gueule et tu t'écrases, ou tu auras affaire à moi,»
    
    J'ai tremblé. Littéralement. La rage, la frustration, la tension, mon cœur tapait dans ma poitrine, mais devant ses paroles, je me suis ...
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