1. Aurélie est un amour


    Datte: 05/11/2022, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, Auteur: Tendre complicité, Source: Revebebe

    ... nouveau. Mais je fus tout chamboulé quand elle se blottit contre moi, la tête sur mon épaule, son buste lové contre le mien. Je pouvais sentir le contact de sa poitrine lourde. J’ai posé timidement les mains sur ses hanches. Et nous avons tourné lentement ainsi au rythme lancinant du slow. Nous ne parlions pas. Aussi chaudement coincé contre son jeune corps ferme et le champagne aidant, les images de l’après-midi et de son caraco blanc me revinrent à l’esprit.
    
    — Je voulais m’excuser, Aurélie, lui dis-je doucement à l’oreille.
    — Pourquoi ? répondit-elle aussi discrètement.
    — Pour tout à l’heure.
    — Je ne vous comprends pas.
    — Lorsque je vous ai rejoint dans votre chambre.
    — Je ne vois toujours pas.
    — Eh bien, euh… j’ai, je crois, eu un regard un peu trop insistant sur… enfin vous voyez.
    — Sur mes seins ? c’est ça ?
    — Oui.
    — Vous êtes mignon.
    
    En complément de sa réponse, elle se blottit contre moi encore plus fort. Je pouvais sentir son ventre contre mon sexe. C’en était trop et je ne pus réprimer une superbe érection. Gêné, je tentais de me dégager jusqu’à ce qu’elle me dise de façon câline :
    
    — Restez tranquille.
    
    Je me suis alors laissé aller à bander contre elle, à lui faire sentir mon désir pour elle. J’aurais voulu que cela dure des heures. La musique prit fin et le DJ enchaîna sur un morceau endiablé de techno. Heureusement qu’il y avait une pénombre suffisante pour cacher mon érection qui déformait mon pantalon. Quelle allait être sa réaction ? Elle me ...
    ... glissa à l’oreille :
    
    — Partons d’ici, prenez une bouteille de champagne et rejoignez-moi dans ma chambre.
    
    Elle s’éclipsa, me laissant là un peu bête. Je tournai la tête à droite et à gauche : personne n’avait rien remarqué. Je mis un peu de temps à trouver une bouteille et deux verres. J’ai monté les escaliers quatre à quatre, le cœur battant, et c’est un peu essoufflé que je frappai à sa porte. Elle vint m’ouvrir. Elle fumait une cigarette en m’attendant. Je servis les deux coupes et lui en tendis une.
    
    — Trinquons à cette belle journée, dit-elle en faisant tinter son verre avec le mien.
    — Tchin.
    
    Nous bûmes une gorgée. Elle posa sa coupe et écrasa sa cigarette. J’étais intrigué. Très lentement, elle déboutonna sa veste et écarta les pans pour la faire glisser le long de ses bras. Elle se cambra bien droite les seins en avant. Ses tétons avaient manifestement grossi, car j’avais l’impression qu’ils allaient transpercer la mince étoffe satinée d’un blanc écarlate.
    
    — Alors le spectacle vous plaît-il toujours autant ?
    — Je dois l’avouer, Aurélie, mais que dois-je comprendre ?
    — Vous m’avez dit que je ne savais pas donner de tendresse alors je me suis dit qu’il était temps d’apprendre.
    — Et vous m’avez choisi comme cobaye ?
    — Cela vous embête ?
    — Je suis surpris.
    
    Elle me prit la main et la posa sur son sein. J’avais l’impression d’être comme un puceau devant sa première expérience. Ce plaisir, je me l’étais interdit depuis si longtemps. Il fallait profiter ...
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