1. Aurélie est un amour


    Datte: 05/11/2022, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, Auteur: Tendre complicité, Source: Revebebe

    ... laissait peu de temps pour prendre une douche et se préparer. Je suis allé frapper à sa porte. Elle me cria de rentrer. Elle était encore dans la salle de bain. Je pénétrai donc dans cette chambre luxueuse (la Direction ne faisait rien à moitié). J’ai remarqué tout de suite sa valise ouverte avec ses vêtements et sous-vêtements éparpillés autour et ce parfum délicieux qui flottait dans la pièce. Mes sens s’éveillèrent de nouveau en me remémorant la vision paradisiaque dans la voiture.
    
    — Je suis prête dans cinq minutes, dit-elle en sortant de la salle de bain.
    
    Elle portait un pantalon large en coton très fin noir qui moulait admirablement ses petites fesses et un caraco en satin blanc aux fines bretelles et bordé de broderies finement tissées sous lequel il était manifeste que sa poitrine ballottait librement. Elle se pencha en avant pour ramasser ses affaires. Le satin s’écarta de son corps et de nouveau je pus profiter largement d’une vue plongeante sur les deux globes fermes. Lorsqu’elle se redressa, mes yeux fixaient ses seins moulés par le satin et les tétons qui formaient deux petits appendices au sommet de ces monts de douceur.
    
    — J’aurais peut-être dû mettre un soutien-gorge, dit-elle en riant.
    
    J’étais rouge pivoine.
    
    — Euh, non, euh, je ne sais pas, oui.
    — Ma tenue vous plaît alors, reprit-elle avec un air malicieux en enfilant une veste noire assortie au pantalon.
    — Vous êtes sublime Aurélie.
    — Alors, allons-y, fit-elle gaiement en me prenant le ...
    ... bras.
    
    J’étais tout honteux. Mais je profitais du bonheur d’être à son bras, de toucher son corps même imperceptiblement.
    
    La soirée fut très gaie. Mais à chaque fois que je me rappelais sa réflexion, mon cœur se serrait. J’étais allé trop loin. Pourtant quand je croisais son regard (elle était à ma table), elle me souriait comme si de rien n’était. Pour oublier, je bus pas mal de champagne ce qui eut pour effet de me laisser aller à une douce torpeur.
    
    À la fin du repas, la plupart des personnes présentes rejoignirent le dancing du Château. J’étais resté discuter avec quelques directeurs. Laissons les petits jeunes s’amuser ! Nous avons décidé au bout de deux heures de les rejoindre pour voir la fête qui battait son plein au son de la musique techno. Puis ce fut le tour d’une chenille sur je ne sais plus quel air. Nous les regardions, nous, les vieux croûtons, se mettre en file indienne en se tenant par les hanches et commencer à aller un peu partout sur la piste de danse. Aurélie en faisait partie et quand la chenille passa à côté de notre petit groupe, elle m’entraîna malgré moi dans cette cavalcade échevelée. Enfin un quart d’heure plus tard, cela cessa à mon plus grand soulagement. Aurélie semblait s’amuser comme une petite fille. La musique suivante était un slow.
    
    — Vous m’invitez ? me demanda-t-elle.
    — Ouh la, je ne sais pas danser.
    — Un slow ? Ça n’a vraiment rien de compliqué, même les plus nuls savent le faire.
    
    Piqué au vif, je me laissais entraîner à ...
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