1. Aurélie est un amour


    Datte: 05/11/2022, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, Auteur: Tendre complicité, Source: Revebebe

    ... j’emmène ma fille chez ma sœur après.
    
    Elle arriva à l’heure dite. Même en jean et pull tout simple, elle était ravissante. Je lui présentais ma petite fille de dix ans. Elles sympathisèrent tout de suite. Elle m’apprit qu’elle était l’aînée de cinq enfants et qu’elle s’était beaucoup occupée de ses frères et sœurs. Je la découvrais sous un autre jour, plus détendue qu’au bureau.
    
    Nous avons déposé ma fille chez ma sœur et nous avons entamé la route pour aller à ce fameux séminaire.
    
    Au début du voyage, nous n’avons pas parlé. Elle m’a demandé si cela me gênait qu’elle fasse un petit somme. J’ai répondu que non. Alors elle a retiré son pull et s’est endormie quasiment aussitôt.
    
    J’ai pris l’autoroute et je me suis lancé dans les quatre heures de route. Je jetais quelques coups d’œil furtifs vers elle. Au gré de ses mouvements, je pus apercevoir un spectacle bien agréable. Elle portait un chemisier blanc à manches courtes. Les trois premiers boutons étaient ouverts. Et par l’échancrure entrouverte, j’avais une vue plongeante sur la naissance de son sein lourd avec sa peau fine tendue. Je ne pouvais m’attarder à chaque fois que quelques secondes pour ne pas faire un écart de conduite. Mais je tournais de plus en plus mon regard vers cette ouverture pour détailler la vue. Je remarquai la lisière de son soutien-gorge à balconnet en dentelle blanche ajourée. Je priais pour que le tissu s’écarte encore afin de voir plus de ce jeune sein. Je rêvais de son aréole. Cette ...
    ... quête était vaine, mais elle agrémenta de façon plaisante le parcours. Mes pensées étaient envahies de scènes plus délicieuses les unes que les autres. J’étais bien, mon sexe en ébullition et dur.
    
    Je dus m’arrêter pour prendre de l’essence. Elle ne se réveilla pas. Je me suis garé pour prendre un café. Avant de sortir de la voiture, je l’ai longuement contemplée. Elle était si touchante ainsi endormie. J’avoue que son échancrure me fascinait toujours autant. J’en arrivais même à me tortiller pour essayer d’en voir plus. Mais rien n’y faisait. Une idée folle me traversa l’esprit. Mais j’osai.
    
    Très doucement, j’ai avancé mes doigts vers le pan le plus éloigné de son chemisier. J’ai délicatement attrapé le tissu pour le soulever à peine. Je pus voir quasiment tout le sein et notamment, la tache sombre du mamelon à travers la dentelle. Mon cœur battait à se rompre. Tout à coup, elle bougea à peine. J’ai sursauté en lâchant le chemisier. J’étais proche de la crise cardiaque. Elle ne se réveilla pas, mais j’ai considéré que le jeu était trop dangereux. Je suis donc allé boire mon café. Elle me rejoignit un peu plus tard, l’air encore endormi et en s’excusant de ne pas être une co-voyageuse très volubile.
    
    Nous avons repris la route en discutant de nos vies respectives. Elle m’apprit qu’elle venait de rompre avec son fiancé. Et puis, son travail la passionnait et elle ne voulait pas s’embarrasser d’une histoire trop impliquante. Je lui dis avec amusement que c’était typique des ...
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