1. Le papa de ma soeur (1)


    Datte: 26/10/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... saura pas faire mieux sans doute.
    
    Je dois à plusieurs reprises me frotter contre lui, pour parvenir à un résultat pas très satisfaisant. Et lorsque sa paume de main une première fois se pose sur ma hanche, je prends ça pour un mouvement involontaire. Mais quand celle-ci tente de remonter sous ma jupe, je recule.
    
    — Papa ! Bon sang, je suis ta fille, tu ne dois pas me tripoter.
    
    — Marianne… tu es toujours aussi fraiche !
    
    — Arrête de dire des bêtises, maman n’est plus là depuis longtemps… papa, je t’en conjure, fais un effort !
    
    Peine perdue et je le sens instinctivement. Il demeure dans sa perception très personnelle du monde dans lequel il nage à longueur de jour.
    
    — Ça fait longtemps Marianne que nous n’avons plus rien fait…
    
    — … je ne suis pas ta femme papa, juste ta fille, s’il te plait, reprends-toi !
    
    — Pourquoi ne veux-tu plus de moi ? Nous sommes toujours mariés bon sang. Je suis malheureux moi !
    
    — Papa… ne dit plus rien, je t’en supplie.
    
    Mes yeux sont de nouveau inondés par cette montée lacrymale que rien ne sait refréner. Il s’est relevé, tremblant sur ses jambes. Il est mal rasé et je ne parviendrai pas à faire mieux.
    
    — Va prendre ta douche. J’ai mis tes vêtements propres sur la chaise de la salle de bains.
    
    — … Marianne…
    
    — Allez ! Viens ! Bouge-toi un peu.
    
    Ma patte attrape son bras et je le bouscule, pour le faire aller vers la salle de bains. Je règle dans celle-ci la température de la douche et l’exhorte à faire sa ...
    ... toilette.
    
    — Enlève-moi tout cela… Et lave toi…
    
    Puis je file vers la cuisine, ravalant ces larmes qui sont des prières impossibles à cacher. Je reste prostrée devant l’évier. Combien de temps ? Je n’en sais plus rien. Je ne compte pas. Puisqu’il ne sort pas de la salle d’eau, je dois aller jeter un coup d’œil. Il est toujours devant la cabine, en pyjama, contemplant l’eau qui coule, sans bouger.
    
    — Papa ! Bon sang… retire-moi tout ça !
    
    — … Marianne.
    
    — Arrête avec maman… elle est morte, morte et enterrée depuis des années. Mince alors !
    
    Ma voix est nerveuse, sèche, trop sans doute. Mais je suis à bout, de nerfs, d’arguments également. Je ne suis plus tout à fait moi… je ne sais plus qui est cette Léa qui crie presque. Je tire sur la veste du pyjama et sans résistance, il lève les bras. Son torse velu apparait dans sa blancheur crue. On pourrait lui dénombrer les côtes. Je fais glisser le bas du pyjama et… évidemment il est en érection. Je n’ai jamais vu mon père dans cet état-là ! Les paroles de l’infirmière me reviennent :
    
    « Ben… il y a des choses dont il se souvient et il touche ou essaie de toucher… les femmes de ménage, les infirmières, même la doctoresse a eu droit à sa petite tentative de pelotage. Il a des pensées de sa jeunesse et… c’est toujours un homme, malgré tout ! »
    
    Et là, pour être encore un homme, j’en ai la preuve sans ambiguïté sous les yeux. Je le pousse gentiment vers la pomme qui crache son jet tiède.
    
    — Lave toi papa !
    
    — Vient aussi ...
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