Le papa de ma soeur (1)
Datte: 26/10/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... entendu, il est incapable de se dévêtir sans mon aide. Je prends d’infinies précautions pour ne pas rallumer le feu qui couve sous la cendre et en l’occurrence sous sa ceinture. Une fois en pyjama, il s’étend dans ses draps et je peux le laisser s’endormir.
Tous les bruits de la maison, j’épie chacun d’eux. La peur s’est insinuée dans mon esprit. Pas celle qu’il puisse me faire du mal, mais bien qu’il s’en fasse à lui-même. C’est donc bien tardivement que je vais moi aussi me coucher dans ma chambre, celle que j’ai toujours gardée dans la maison familiale. Je finis moi aussi par sombrer dans les méandres d’un sommeil agité. Dans mes songes, un baiser vient me hanter. Oui un merveilleux bouche-à-bouche qui se renouvelle à l’infini.
Puis j’ai chaud ! Mon sexe réclame des câlins, des caresses et des bisous très spéciaux. Je ne distingue dans mon rêve aucun visage. Celui ou ceux, je n’en sais rien, ceux qui me tripotent sont tous sans traits bien définis. Je me tourne, me retourne et loin de disparaitre, mes envies se font plus pressantes, plus présentes. J’ai la sensation qu’en tendant la main je peux toucher un corps… et surtout une partie tellement raide que mon souffle se fait plus accélérer. Idiot comme il est possible de vivre ces images que notre cerveau nous inculque pendant notre sommeil.
Oui ! Je fais l’amour avec tout ce que cela comporte de gestuelle et de délire. Mon ventre se creuse sous un sexe gonflé, je crie sans doute aussi dans ma nuit très ...
... agitée. Les sons, les bruits qui me parviennent, les mots que mon ouïe perçoit, même le prénom qui m’est susurré a de quoi me faire flipper et pourtant… je nage dans un bonheur extraordinaire. J’ai rudement chaud, je suis en sueur. Ma paume de main se remplit de cette chair tendue à l’extrême. Et toujours incapable de voir se dessiner le moindre contour de la figure de mon baiseur.
Cette plaisanterie dure longtemps, et je n’ai aucune envie de m’y soustraire, bien au contraire. Je me vautre dans le stupre et la luxure imaginaires d’une nuit de folies. Mon sexe s’entrouvre sous les assauts d’un autre bien mâle celui-là. Je sens un orgasme monumental qui m’emporte comme une lame de fond. Je me berce dans cette illusion amoureuse d’une partie de cul incognito. Finalement, les images s’estompent et je plonge dans un abyme, une caverne dans laquelle je me retrouve en plein soleil.
Oui en plein soleil… et ce sont bien ses rayons qui se frottent à ma peau en ce nouveau matin naissant. J’entrouvre donc les quinquets, soulagée par ce réveil libérateur. Je me tourne et mon bras heurte quelque chose… quelqu’un qui ne devrait pas se trouver là ! Papa est dans mon lit, nu comme un ver et mon Dieu… je le suis tout autant… Non ! Je n’arrive pas à y croire… j’ai bien rêvé cette nuit ? Cette fois, c’est trop ! Je ne veux, ne peux plus garder à la maison ce malheureux papa qui ne sait plus que je suis… sa fille… la sœur de son autre fille… Je suis la sœur de la fille de papa !