1. Le papa de ma soeur (1)


    Datte: 26/10/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... mon père, complètement hors de lui. Petit à petit, il finit cependant par se remettre. Je le serre contre moi et finalement, il se tait. Mais, pour lui, je suis et reste sa femme. Alors… inutile de dire que je dois jongler pour qu’il n’arrive pas à me caresser comme il le voudrait. Je me contorsionne sans pour autant parvenir à ne pas sentir ses mains sur mes hanches. Pire même, il parvient de temps en temps à en glisser une sous ma robe et ses doigts viennent frôler l’endroit que Marc a passablement échauffé.
    
    Un vrai supplice que de devoir de toutes mes forces tenir à distance ce père qui ne sait plus qu’il en est un. Il râle, soupire et me lance quelques piques bien senties. Les noms d’oiseau qui me dégringolent sur la tête, me font plus de peine que de vraies gifles. Le mot « salope » est employé à tout bout de champ et pas moyen de raisonner cet homme qui se sent bafoué. Il parvient d’un coup à me cramponner en se laissant tomber sur son lit et je me retrouve dans une posture délicate. Il est fort l’animal.
    
    Il remue tellement que j’ai du mal de me dépêtrer de son étreinte amoureuse. Il se vautre sur moi, encore une veine que nous soyons moi en robe et lui habillé également. Je perçois cependant sur mon ventre la pression de ce que je devine bandé. Comme c’est compliqué pour moi de le repousser alors qu’il se croit toujours en corps à corps amoureux avec… maman. Et son visage est si proche du mien qu’en tournant la tête sa barbe me racle la joue. Pas agréable du ...
    ... tout cette guerre pour le calmer.
    
    Lorsqu’au prix d’efforts conséquents, je parviens finalement à me remettre debout sans trop de dégâts, lui est absolument hors de lui. Il soliloque des phrases sans suite, des mots inaudibles. Seules les insultes qu’il profère à mon endroit… enfin à celui de cette femme adultère dont il pense toujours être en présence… sont suffisamment explicites pour que je n’aie nul besoin de traducteur. À la fin il reste couché sur le lit et il sanglote, ce qui bien évidemment m’attire aussi des larmes d’accompagnement.
    
    Je le laisse dans sa chambre et je file dans la cuisine. Je ne peux pas vraiment lui en vouloir. Il ne sait pas ce qu’il fait, ou qui nous sommes l’un pour l’autre. Et en cela, bien sûr il est dangereux. Je prépare un potage, il doit diner. Pour ce qui me concerne, mon appétit est coupé net. Le gout amer d’un baiser échangé avec mon beau-frère me remonte dans la gorge. Comment ai-je pu être aussi débile ? Pourquoi ce moment de faiblesse avec Marc ? Lui aussi va croire que… et puis ma sœur, demi-sœur, je ne suis plus tout à fait certaine de rien… elle, si les enfants caftent… gare à la suite de l’histoire.
    
    Une heure plus tard, j’ai servi deux assiettées d’un potage de légumes et il est de nouveau dans son monde. L’incident pour lui n’a pas eu lieu, il a tout bonnement oublié les instants de grande tension que nous avons vécu. Il dine sans un mot, sauf pour réclamer sa Marianne. Puis je l’exhorte à aller se reposer dans sa couche. Bien ...