1. Suite à mes confessions de femme frigide...


    Datte: 21/10/2022, Catégories: ffh, handicap, BDSM / Fétichisme intermast, Oral yeuxbandés, confession, coupfoudr, Auteur: Lamiel, Source: Revebebe

    ... qui me bouscule et me chavire. Mes guibolles se dérobent et je lâche un interminable hululement.
    
    Heureusement, on me soutient sans quoi je m’affalerais, pantin inconsistant, déjà terrassée par ma trop rapide et brève jouissance. On me dépouille graduellement de ma carapace et des lèvres gloutonnes poursuivent le nonchalant reflux du textile, hérissant ma peau d’une grisante horripilation. Quand celui-ci s’évade le long de mes lombes, les caresses énamourées qui le traquent m’affolent si fort, que même désireuse des prochains rebondissements et en dépit d’une stricte logique, j’aimerais que cette situation s’éternise.
    
    La pelisse enfin s’affaisse à mes pieds et je m’exhibe maintenant, complètement découverte, follement nue sous mes guipures, devant mon invisible adulateur. Un soupçon de fierté m’encourage. Je me redresse afin de valoriser la finesse de mes lignes et la fermeté de mes rondeurs. Me poussant par les épaules, on me fait avancer vers une pièce contiguë où l’on m’assied puis me couche, le dos sur un lit qui fleure la lavande, les jambes ballantes. On les écarte et un corps fluet, à mon plus grand étonnement toujours vêtu, se faufile entre elles. Des doigts, une armée de doigts, tambourinent sur mon ventre, rythmant le tremblement qui m’agite, escortant une pointe de langue qui visite mon nombril.
    
    On agrippe les côtés de ma culotte que l’on me retire insensiblement. Une haleine torride embrase mon intimité avant qu’une bouche gourmande ne vienne en aspirer ...
    ... les nectars. Je ne peux plus contenir mes gémissements. Ce délicieux supplice se prolonge. Je sens s’enfler une prodigieuse explosion, et soudain, quand j’atteins l’orée d’une déflagration que j’imagine finale, un arrêt brutal me condamne aux affres de Tantale. C’est horrible, dire que je touchais à l’apothéose ! J’égrène une longue plainte qui ne réveille aucun écho. Quelques gestes précis et empreints de bienveillance m’invitent à m’installer à quatre pattes sur le lit, position que j’affectionne avec mon époux, car elle lui dissimule l’apathie de mon visage.
    
    Je n’avais jamais constaté la réceptivité de mon postérieur aux caresses. On le flatte et l’embrasse, le malaxe et le pince subtilement, l’échaude de baves ignées et le masse. Bientôt un objet raide et oblong s’insinue entre mes jambes. Je palpite à la limite de la défaillance, c’est trop bon. Un bras m’enlace, une main effilée dirige délicatement cette verge vers les portes d’un huis fébrile qui l’attend impatiemment. La poussée ensuite, par courtes saccades, me fait vibrer et chaque degré de pénétration génère des cascades d’émotions. Je m’étonne de la profondeur de mon vagin qui à chaque élan, à chaque retrait de l’intruse ne cesse de s’excaver. Maintenant le pilonnage gagne en ampleur et je suis écartelée. Pas un pouce de mes chairs qui ne soit épargné. Tandis qu’une friponne flâne sur mes épaules et mon cou pour finir par s’établir sur mon buste, l’autre fureteuse baguenaude en lisière de ma chatte inondée. Le ...
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