1. Journal d'une étudiante presque ordinaire (1)


    Datte: 17/10/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: Gentille75, Source: Xstory

    ... masturbation, sauf intellectuelle bien entendu. Line se pencha, encouragée par mon manque de réaction, et posa ses lèvres sur les miennes. Je pris sa bouche, pressée de passer outre les questions existentielles, nos langues se trouvèrent.
    
    On s’embrassa passionnément, longuement. C’était sympa un baiser, ça ne prêtait à aucune conséquence, du moins je le croyais, on allait peut-être s’en tenir là, puis rire de cette folie passagère. Sans prévenir, Line glissa les mains sous mon pull et empoigna mes seins libérés du soutien-gorge depuis le début de la soirée. Le contact sur ma peau provoqua une décharge électrique inattendue.
    
    On se dessapa mutuellement dans un indescriptible chahut, effleurant chaque partie dénudée au fur et à mesure. Enfin, j’empoignai les seins pointus à pleines mains, leur fermeté attisa mon désir, il n’y aurait aucune reculade de sa part ni de la mienne. La copine ferma les yeux, aux anges. Ma bouche glissa dans son cou de haut en bas, et je couvris bientôt une jolie poire de baisers suaves.
    
    Par réflexe sans doute, Line plaqua une main autoritaire dans ma nuque, le téton trouva le chemin de mes lèvres. Enivrée par cette première audace, j’alternai les suçotements et les aspirations jusqu’à le sentir durcir entre mes dents. Pas peu fière, je m’occupai de l’autre en massant amoureusement la base du sein du plat de la main. La peau satinée me rendait folle.
    
    Une éternité plus tard, je bousculai gentiment la copine qui s’effondra sur le lit entre nos ...
    ... fringues éparpillées, les cuisses écartées, les jambes dans le vide. Quelle magnifique invitation à pousser l’expérience ! Je butinai le ventre noué jusqu’au nombril profond que j’investis de la langue. Personne ne me l’avait jamais fait, ça me semblait naturel, Line réagit au quart de tour.
    
    Petit à petit, je découvris l’arrondi du bas-ventre, la large touffe taillée en triangle qui s’affinait jusqu’à devenir un sillon duveteux sombre qui mettait l’intimité en valeur. La copine me lança un regard suppliant, je m’en imprégnai avant d’oser ouvrir la fente, curieuse. Putain, ce que c’était beau ! Était-ce normal pour une nana de réagir ainsi devant un minou ? Au diable les questions !
    
    ♀♀
    
    J’aurais pu me contenter de lui donner un plaisir superficiel, de taquiner son clito, de la baiser avec mes doigts, mais non, pas question de galvauder cet instant. J’avais envie d’elle, de la goûter, de la savourer. À entendre des témoignages de-ci de-là, les mecs ne se bousculaient pas pour brouter le minou de leur copines, seules celles qui couchaient avec des vieux parlaient de cunni.
    
    Les yeux ouverts, il me fallait regarder, j’effleurai la fente de mes lèvres en corolle, aucun diable ne sortit de la boîte. Le premier contact provoqua un rire nerveux, comme après une chatouille. La réaction piqua mon orgueil au vif, alors je m’enhardis, le rire s’interrompit aussitôt.
    
    La copine, tendue, accueillit ma langue dans sa chatte d’un « Oh » de surprise, elle ne s’attendait pas à ça, ...