1. La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (9)


    Datte: 11/10/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... vers mon cousin.
    
    Je me dispensai d’assister à la mise en terre, de même que le reste de l’assistance. Manifestement, le défunt n’avait pas laissé d’excellents souvenirs à son entourage.
    
    Ma servante, Claudine, ne me quittait pas, comme à son habitude depuis une semaine, mais ce jour-là je souhaitais la voir s’éloigner…
    
    Je lui demandai donc, prenant des mines secrètes, de porter dans une métairie un message je qualifiai « de la plus haute importance » et que je ne confierais qu’à une personne de confiance. Heureuse de se voir confier une telle tâche, elle me quitta, nous laissant quelques heures de liberté.
    
    Mon cousin flâna un moment avec moi, avant de m’entrainer vers la chapelle, désormais vide. Une sacristie jouxtait le bâtiment religieux, contenant le nécessaire aux cérémonies coutumières. Les lieux me rappelaient le matin de mon mariage, lorsque mon cousin m’avait prise dans l’église.
    
    Nous entrâmes dans la pièce, assez obscure. Le prêtre n’était pas là. Armand ferma rapidement la porte. Je dégrafai hâtivement mon nouveau corsage et relevai ma robe, sous le regard amusé de mon cher cousin qui défaisait les cordons de sa culotte et sortait sa verge, qui commençait à darder.
    
    - Eh bien, mon adorable Solange, quelle ingéniosité de couture est-ce là ? Il nous a toujours fallu de longs moments pour que mes regards puissent caresser vos splendides seins, et voilà que maintenant moins d’une minute suffit à dévoiler votre beau corps…
    
    - Mon cher cousin, ...
    ... quelques astuces couturières effectivement me permettent de dégrafer mon corsage assez promptement, sans le délacer. Viendrez-vous donc vous…. délasser… sur ma gorge ?
    
    Lui faisant toujours face, gorge nue, jambes écartées et sexe offert, vêtements défaits, je m’appuyai contre la demi-bonnetière, presque assez basse pour que je m’y assisse. Mon cousin me rejoignit promptement et planta sa virilité en moi, me faisant gémir.
    
    Il me foutait délicieusement : jambes et robe relevées, je m’offrais sous lui qui allait lentement entre mes jambes. J’essayais d’accélérer ses mouvements en agrippant ses hanches, mais il savait résister à mes gestes et continuer à m’enconner avec douceur, lenteur, profondeur, me frustrant dès que son vit glissait hors de moi, se maintenant plusieurs secondes en suspens entre mes jambes avant de me combler à nouveau en plongeant en moi. Chaque pénétration m’arrachait des gémissements que je peinais à modérer, chaque retrait m’obligeait à mordre mes lèvres pour ne pas supplier.
    
    Il me plaisait de me renverser en arrière, offrant ma gorge à ses regards, ployant mon corps sous le sien, souhaitant ardemment sentir ses mains caresser ma gorge. Mon cousin préférait m’embrasser largement, me tenant contre lui, mais il lui arrivait de reculer un peu pour saisir ma gorge et la rudoyer, comme j’aimais souvent qu’il le fasse. Mes yeux mi-clos l’encourageaient, mes soupirs réclamaient davantage, mes lèvres le suppliaient de me soumettre à son désir, mes mains ...
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