1. Au Canada


    Datte: 10/10/2022, Catégories: fh, fplusag, oncletante, médical, grossexe, groscul, voyage, amour, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, québec, initiatiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Ce n’est pas très pratique, mais en manœuvrant le lit électrique, nous parvenons à une position adéquate, sinon confortable. Belle petite touffe d’astrakan, beau petit sillon mielleux, jolie petite chatte rose fuchsia. Elle a un goût très acidulé, très frais et son petit cul me fait penser à celui de Gwen, peau lisse et mate, fesses très fermes et bien rebondies. Je me délecte, de son bouton à sa rosette, et je parviens même à soulever son soutien-gorge pour peloter ses petits seins.
    
    — Tu vas m’faire jouir, sacristie !…
    
    Et de fait, l’effet suit l’annonce et elle se tétanise quelques instants. D’un coup de bassin, je la rappelle à ses devoirs auxquels elle retourne avec plus d’énergie. Ah si j’avais deux mains… Peu importe, mes doigts et ma langue feront l’affaire, je m’emploie également sur son intimité, ce qui ne tarde pas à activer mon plaisir, tant je constate que le sien reprend de l’altitude. Mon menton est une vraie gouttière. Sans même nous parler, nous tentons de nous synchroniser et elle part de nouveau au moment critique où je lâche les bondes. Résultat, la malheureuse prend tout en pleine poire et doit courir à la salle d’eau pour se laver le visage.
    
    — Crénom, tu parles d’une bordée ! J’en avais jusque dans les oreilles…
    
    Elle se rhabille, me change le drap qui a morflé et me fait un brin de toilette.
    
    — Je n’ai pas vu la toubib aujourd’hui ?
    — Elle opère toute la journée, la pauvre, m’étonnerait qu’elle passe.
    
    Du coup, je me tape une petite ...
    ... sieste jusqu’au dîner. Je commence à m’habituer à manger avec la main gauche, mais impossible de couper ma viande ou quoi que ce soit d’autre, c’est une aide-soignante qui me prépare mon assiette. Ensuite, je regarde distraitement la télé, aussi conne ici qu’en France. Au moins, l’accent me fait marrer. Vers vingt-trois heures, la porte s’ouvre doucement et, me voyant encore éveillé, la doctoresse entre en traînant les pieds. Elle est toujours en pantalon et chemise, coiffe sur la tête et masque sur le cou, elle paraît épuisée, les yeux cernés. Elle se laisse tomber sur une chaise, arrache sa coiffe et secoue d’une main sa lourde chevelure auburn.
    
    — Alors, mon p’tit français, comment il va aujourd’hui ? Tes doigts bougent ? Pas de fièvre, je vois…
    — Mieux que vous apparemment. Oui, mes doigts bougent, dans le vide.
    — Bah, c’est mon travail et je l’aime. Mais la journée était chargée. Pas trop de douleur ? N’hésite pas à prendre des antalgiques, c’est cette boîte-là. Pas plus de quatre par jour, quand même.
    — Et pour le moral, vous avez quoi ?
    — Comment ? T’es pas bien, là ? On ne s’occupe pas bien de toi ?
    — Si, je suis nourri, je suis rasé, je fais un peu moins peur malgré mon bandana de sauvage, mais je vais rater le début de mon stage, je ne sais pas comment je vais m’habiller, me déplacer, je n’ai rien ni personne ici pour m’aider… c’est la cata !
    — Ton bandeau, je te l’enlèverai demain. Ce que je peux faire, c’est passer à ton hôtel et récupérer ta valise, si tu ...
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