Rose-May et Alban
Datte: 29/09/2022,
Catégories:
fh,
piscine,
jardin,
Collègues / Travail
douche,
noculotte,
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
Humour
rencontre,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... songea pas un instant au juge qui allait le foutre en taule, mais à sa patronne en danger.
Ils se précipitèrent dans la chambre de la jeune femme, elle sanglotait sur son lit, juste vêtue d’une petite culotte, des boîtes de médocs autour d’elle. Guillemette et Alice veillaient à ce qu’elle n’avale pas ces cochonneries.
— Nous l’avons entendue crier ce matin, le temps que nous arrivions nous l’avons trouvée ainsi.
À chaque sanglot, les petits seins tressautaient. Alban, ne te laisse pas déconcentrer, ta liberté en dépend.
— Que vous arrive-t-il, Mademoiselle ?
— Aaaalbaaaan, je veux… sniff… mourir, hurla Rose-May en se jetant dans les bras du jeune homme.
Ce dernier, très gêné, était incapable d’adopter une contenance. Les nichons, petits, mais fermes se pressaient nus contre son torse, nu lui aussi. Il ne savait que faire de ses mains, où les poser.
En désespoir de cause, il lui tapota l’épaule tandis que de l’autre main il lui caressa les cheveux. Toutefois la nature reprenait ses droits sur la bienséance, son calbute retenait avec peine un mandrin de calibre remarquable. Son sous-vêtement allait bientôt ressembler au réacteur 2 de Fukushima, celui qui entra en fusion.
— Raconte tout à tonton Alban.
— Ahh… vont… sniff… se… snif… marier… Ahhh, gémit-elle en désignant un truc informe sur le lit.
Guillemette se saisit de la chose et entreprit de déchiffrer un journal totalement chiffonné.
— Ah merde, je comprends tout :
— Ahhh, veux ...
... mourrrriiiir.
— Va falloir appeler le Dr Marc Quassin, son psy.
— Nooon, veux pas… sniff…
— Non, on va pas voir le toubib.
Alban caressait le dos de la jeune femme, de la petite culotte à la nuque et vice-versa. Il embrassait les cheveux en murmurant des mots doux, comme lorsque l’on veut calmer un enfant ou un chaton.
— Pas de toubib à la con, nous allons chez Momo.
— Sniff… qui ?
— Momo. Momo sait redonner le sourire, Momo sait calmer les peines de cœur. Momo donne du bonheur. Allez, on s’habille vite, sans chichis.
Alban se sépara avec peine de l’étreinte de la vicomtesse, elle se sentait bien dans ses bras, lui serait bien restée comme cela encore quelques heures.
~~
La BMW se gara devant un estaminet qui n’avait rien à voir avecla Scène oul’Orangerie.
Une construction basse en brique, une vigne vierge grimpait aux murs. Une enseigne défraîchie annonçaitchez Momo. À l’arrière du bâtiment une prairie descendait en pente douce vers une rivière, plus loin s’élevait une forêt. Entre les deux des chevaux broutaient paisiblement.
Quelques clients levèrent les yeux à leur entrée, les hommes reluquèrent surtout la jolie femme en mini-jupe et chemisier de soie. Les femmes s’intéressaient au beau spécimen mâle qui l’accompagnait.
— Salut Momo, tu aurais une petite table pour deux.
— Banban ! Si je m’attendais. Bien sûr que j’ai une table pour toi. Ça fait un bail dit donc. T’as pas encore fait des conneries ?
— Non, j’en fais plus. Je te présente Rose-May, ma… ...