1. Rose-May et Alban


    Datte: 29/09/2022, Catégories: fh, piscine, jardin, Collègues / Travail douche, noculotte, caresses, intermast, Oral pénétratio, Humour rencontre, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    La Vicomtesse Rose-May de La Cendraie gara sa BMW i8 devant l’hôtel particulier de son promis, le marquis Pierre-Édouard de Valemaîttre, en plein cœur de la capitale.
    
    La date du mariage approchait et il fallait régler certains détails.
    
    Elle venait aussi jouer à la bête à deux dos, depuis que son fiancé lui avait inauguré la boîte à plaisir elle était devenue friande de la chose, toujours avec Pierre-Édouard, cela s’entend, elle ne se serait jamais permis de tromper son futur époux, ce avant les liens sacrés du mariage, ni, peut-être, même après, Rose-May possédait des principes.
    
    Après chaque entorse au code de la vertu édicté par sa grand-mère Marie-Hortense, elle allait retrouver son confesseur, l’Abbé Philippe. Celui-ci, bien que réticent, n’en convenait pas moins qu’il fallait vivre avec son temps, et que si les parois du confessionnal pouvaient parler, elles raconteraient bien des turpitudes, et que bien des bonnets furent jetés par-dessus les moulins avant l’heure de la messe de mariage, ce depuis la nuit des temps, sans parler de certaines lignées qui remontaient aux croisades par d’étranges chemins de traverse.
    
    Rose-May se renfrogna quelque peu en voyant, garée devant le portail, la Mini Cabriolet de cette chipie de Marie-Édith de Mantes, sa cousine au troisième degré. Elle ne détestait point sa cousine, mais cette fofolle semait le désordre et la confusion partout où elle passait.
    
    La Vicomtesse entra sans sonner, car elle possédait un trousseau de ...
    ... clefs ; ne trouvant personne dans le grand salon, ni dans le fumoir ou le jardin d’hiver, elle grimpa dans les étages, son futur devait travailler dans le bureau.
    
    Rose-May avançait sans inquiétude dans le couloir quand elle entendit quelques murmures provenant de la chambre de son promis.
    
    Par la porte entrouverte, elle assista à un spectacle qui la cloua sur place.
    
    Marie-Édith, sa cousine, s’y trouvait nue, les mains appuyées sur le manteau de la cheminée, la croupe tendue en arrière, les jambes écartées et sur la pointe des pieds, ses seins lourds gigotaient en tous sens tandis que Pierre-Édouard la besognait comme un rustre, l’enfilant par derrière comme le dernier des soudards.
    
    Elle poussa un cri d’épouvante. Les deux amants sursautèrent ce qui fit sortir de son fourreau le vit de son soi-disant fiancé, ou plus exactement futur-ex.
    
    — Rose-May, ma mie débita d’un seul trait ce salopard.
    
    Sa flamberge à peine débandée, encore gluante des sécrétions de la traîtresse, pointait vers la malheureuse trahie.
    
    — Je peux tout expliquer.
    — Non, cria la Vicomtesse en s’enfuyant.
    
    Le Marquis tenta bien de la poursuivre, son sexe s’agitant tel un métronome sur sa bedaine naissante. Il perdit du temps en essayant d’enfiler ses mules, et finit par se casser la gueule dans l’escalier.
    
    Dans la cour, elle ramassa un bloc de roche qu’elle lança dans le pare-brise de la Porsche Cayenne du félon et défonça les phares. La Mini de sa salope de cousine subit le même sort. ...
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