Jour de l'An
Datte: 28/09/2022,
Catégories:
fh,
ff,
candaul,
voisins,
sauna,
Oral
fgode,
pénétratio,
fsodo,
échange,
attache,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... Levrette classique avec le dos bien horizontal, laissant tomber sa poitrine dont les tétons pointent vers le lit.
— Et toi, tu avais envie ?
— Oui.
C’est un oui à peine articulé, mais un oui tout de même.
— Tu as aimé ce que nous vous avons montré dans la véranda ?
— Oui.
— Tu sais, plus d’une fois alors que je possédais une femme, c’est toi par la pensée que je possédais. Je savais que vous regardiez. C’était bon. Mais je voulais te montrer comme maintenant que j’aime autre chose. Tu aimes ?
— Oui.
— Regarde comme tu es belle. Regarde comme les menottes sont excitantes. Tu verras, plus tard je te montrerai tout ce qu’on peut faire.
Il envisage déjà une suite. Il est évident que, d’une certaine façon, en les espionnant je lui ai apporté mon épouse sur un plateau.
— Dis-moi que tu aimes.
— Oui, c’est bon.
Un long moment il la baise. Le lit bouge sous ses poussées, Agnès doit se retenir au barreau sinon ses poignets seraient douloureux des pinces qui les enserrent. Il la fait parler. Manifestement il veut l’entendre lui dire que c’est bon, qu’elle aime, qu’elle se voit dans le miroir… J’entends des mots comme, coquine, quatre pattes, adorable salope,
Je m’étonne de la facilité avec laquelle Agnès se prête à ce jeu. C’est presque dérangeant. Je n’avais pas imaginé ce genre de situations, autant par le concours des menottes avec toute la symbolique d’une sorte de soumission, que des paroles échangées. J’avais imaginé une possession plus « classique » , ...
... tout au plus une chevauchée de ma femme sur son amant. Mais pas comme ça. Elle s’est moulée si facilement dans l’habit que Louis lui propose !
Mais pourtant je regarde. Je regarde et j’écoute. J’écoute et je ressens. Je ressens et j’ai honte.
Oui, honte de ne pas pouvoir quitter du regard ce que je vois.
Honte de céder à la demande de Nadia qui se place devant moi dans une position que je ne peux que comprendre.
Honte de m’agenouiller derrière elle.
Honte de l’enfiler d’une poussée.
Honte de la baiser avec force comme si je voulais reproduire ce que je vois.
Je vois et je regarde. Je regarde et cela m’excite. Louis qui a saisi ma femme par les hanches et qui la baise avec force. Ma femme dont j’entends les soupirs, les cris, les réponses.
Et elle répond ! Et elle acquiesce ! Et elle accepte l’insulte ! Pire elle la sollicite !
Au diable la honte. C’est beau et excitant. Si je suis si dur, c’est bien grâce à ce jeu pervers.
C’est mon épouse, j’en reconnais le visage même son corps, sa voix aussi même si elle est étrangement, parfois sourde, parfois criante.
Je jouis. J’ai un peu honte de n’avoir pas été plus résistant, trop concentré sur ce que je voyais.
De l’autre côté, Louis n’a pas ma faiblesse. Il continue de la bourrer.
Et puis, il se retire.
— Je veux me terminer dans ton petit trou. Tu veux bien ? Marc le fait ?
— Oui.
Je suis encore à genoux. Nadia a bougé, elle est venue à côté de moi. Elle a passé sa main autour de mon ...