1. Jour de l'An


    Datte: 28/09/2022, Catégories: fh, ff, candaul, voisins, sauna, Oral fgode, pénétratio, fsodo, échange, attache, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... évidence à la façon dont son regard effleure la paroi lisse. Il recule son visage. Maintenant il fixe mon épouse, les yeux dans les yeux.
    
    — Ça fait si longtemps que j’en avais envie.
    
    Sa voix m’est parvenue distinctement, comme s’il était dans la pièce.
    
    — Il y a des micros.
    
    Sa main enveloppe mes bourses, l’autre joue avec mon téton. Je comprends par l’aveu de Louis que la drague de mon épouse, drague gentillette en apparence, était chargée de bien plus pour lui. Je me demande si Agnès m’a bien tout dit de ses compliments et si en réalité Louis n’était pas plus insistant ?
    
    Je ne sais si c’est l’homme, par un geste à peine appuyé, ou si c’est ma femme qui le fait spontanément, mais je la vois se baisser lentement. Sa bouche parcourt de corps de l’homme, s’attarde sur un sein, mâchonne un téton, continue son chemin. Les lèvres, collées sur la peau, atteignent le pubis, jouent un peu en évitant ce que tous savent être le but final.
    
    Nadia a manifestement décidé de reproduire ce que l’on voit de l’autre côté, comme si chaque couple était le reflet de l’autre. Elle aussi se baisse, me câline, me caresse.
    
    Sa tige est raide, tendue, si tendue que le bâton est horizontal avec son poids que l’envie compense. Elle la prend entre deux doigts délicats. Le temps semble s’arrêter. C’est beau, presque tendre, pas de ces scènes mal filmées sur les sites de « cul » ou ils ont oublié que l’érotisme, l’envie, le fantasme apportent bien plus qu’une vision presque obscène d’une ...
    ... queue qui possède et d’une femme qui hurle sa jouissance.
    
    Rien de cela. Au contraire, échange de regards d’elle vers lui, de lui vers le miroir, d’elle qui comprend ce qu’il souhaite. Elle ne peut que le comprendre à demi-mot comme lorsque dans le secret de notre chambre j’ouvre la porte magique afin qu’un miroir, un vrai, pas un « transparent », ne viennent ajouter une touche de perversité à nos ébats.
    
    Elle bouge un peu, telle une star qui propose son meilleur angle. Ils ne sont pas loin, quoi, deux mètres tout au plus, et comme si c’était encore trop loin, celle qui se colle contre moi nous rapproche un peu.
    
    Elle regarde le pieu une seconde comme si elle doutait de ce qu’elle voit. Pourtant, là-haut, dans la véranda, elle avait plongé sur le mandrin. Mais ici, c’est comme si elle voulait déguster, apprécier, ce moment et ce que son amant lui propose. Je vois sa langue passer la fermeture de ses lèvres. Elle la pose sur le gland. J’entends parfaitement le soupir de Louis.
    
    Quelle perversité, cette installation où tout est imaginé pour le voyeurisme et tout le reste. Un reste que je n’ose imaginer. En tout cas pour l’instant on est bien dans du classique. Les lèvres se posent à leur tour sur le gland. Le gland qui disparaît lentement. J’entends sa respiration. C’est comme si j’étais dans la pièce. Les lèvres qui avancent. La main qui va palper les bourses. L’autre qui se plaque sur les fesses.
    
    Elle le suce. Je vois le mandrin disparaître puis réapparaître de ces ...
«1234...17»