Jour de l'An
Datte: 28/09/2022,
Catégories:
fh,
ff,
candaul,
voisins,
sauna,
Oral
fgode,
pénétratio,
fsodo,
échange,
attache,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... plaisir, même si une belle fellation est appréciée par Agnès.
— Jouer ?
Elle le regarde. Elle regarde les menottes. Elle va dire non ! Elle, nous, n’avons jamais envisagé, même soupçonné que le couple avait des pratiques si contraignantes. Mais :
— Pourquoi pas ?
Elle me tue !
— Tu vas voir, c’est magique.
Il la fait monter sur le lit. Elle est agenouillée.
— Tends tes bras en avant.
Elle s’exécute et en quelques secondes ses poignets sont immobilisés par les menottes dont la chaîne fait le tour de barre métallique de la tête de lit.
— Je vais te bander les yeux. Tu veux bien ?
— Oh non, je veux pouvoir regarder dans le miroir.
Elle le dit comme une évidence.
— Oh, je ne te savais pas si coquine.
— Je pourrais te surprendre.
Quel aplomb ! d’une certaine façon, je suis fier d’elle. Elle ne paraît pas décontenancée par cette situation si étrange. Une première fois en libertine. Une première fois avec des menottes ! Tout semble lui paraître normal ! Je m’étonne de la voir si à l’aise.
— Alors je suis impatient.
Le bourdonnement est parfaitement audible. Il a sorti de nulle part un gode électrique, le genre efficace, mais pas d’imitation phallus et il le place sur la fente offerte. Elle gronde aussitôt. Pendant de longues secondes, on le voit déplacer l’engin, la grosse forme noire contre la fente et sur le clito. Elle gémit. Elle se tortille. Les menottes l’empêchent de s’y soustraire. Elle est complètement à la merci de Louis et de ...
... son vibromasseur.
Mais c’est évident que ce n’est qu’une mise en condition. Il pose le jouet, monte sur le lit et se place derrière elle. Sa queue semble animée de sa propre vie. Il lui suffit de bien se placer pour que le gland détecte la fente. Il suffit d’une poussée pour qu’il disparaisse et alors le ventre de l’homme touche les fesses de ma femme. Elle gémit. Il lui a mis bien profond, mais c’est une avancée désirée, car manifestement le chemin est une longue glissade humide au plus profond.
Elle se regarde dans le miroir. Elle est si près que j’ai l’impression que c’est moi qu’elle voit. Mais non, c’est bien elle qu’elle découvre. Une levrette différente, dos plat, les fesses cachées par son amant. Elle bouge comme pour s’assurer que c’est bien elle dans cette pièce, en chienne, pardon chérie, que le mâle possède. Ses lèvres sont entrouvertes et alors que la queue qui la possède bouge en elle, je vois ses lèvres qui laissent passer ses soupirs et gémissements.
— Putain, tu es grande ouverte. Tu avais envie, cela se sent.
— Oui.
Je m’étonne qu’elle réponde à cette question qui n’en est pas vraiment une.
— Moi, ça fait des semaines, des mois, que je rêve de cet instant. Tu le savais ?
— Oui.
Il la baise lentement. Son mandrin va-et-vient dans un mouvement lent, mais profond. À chaque fois il le fait ressortir et sa nouvelle possession déclenche des soupirs chez ma femme. Des soupirs et elle se regarde dans le miroir. Elle se voit comme moi je la vois. ...