Jour de l'An - Histoires de Sexe

Jour de l'An

... pouvait se jouer dans cette pièce, je lui montre des vidéos que nous conservons de chaque visite. Elle a accepté de se soumettre à quelques essais. Elle a goûté au plaisir d’être attachée, à ma merci, acceptant des sévices qui n’étaient que des amplificateurs de fantasmes.

Elle a adoré se faire immobiliser sur le « banc à fessées », accessoire qui la renvoyait comme une élève méritant d’être punie par sa maîtresse.

Mais elle a refusé que j’utilise la croix de Saint-André sous le prétexte, à mes yeux ridicule, du détournement à des fins sexuelles d’un symbole religieux.

Bref doucement je pensais l’amener à mes fins. Mais c’est à ce moment-là que la chance a tourné.

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Louis piaffait d’impatience en la voyant, soit derrière le miroir, soit en vidéo s’il ne pouvait pas être présent. Je la préparais pour lui, cadeau de femme comblée par son mari et qui voulait apporter sa pierre à l’édifice patiemment construit par notre couple.

Mais elle s’est braquée. Alors qu’il arrivait nu, avec une érection montrant son envie, Agnès n’a pas voulu.

— Ce serait tromper mon mari.

La conne, alors qu’elle le cocufiait avec moi, se soumettant sans vergogne à mes désirs, elle s’arcboutait à cette idée ridicule. Moi aussi je la possédais, d’accord pas par un sexe d’homme, mais avec le gode-ceinture, des œufs vibrants, des plugs. Elle acceptait même de partir, le cul encore pris par un plug, évoluant devant un mari ignorant tout de ce qui se passait. Cela l’excitait. ...

... Elle me disait que de retirer le plug juste avant de se faire câliner par Marc, augmentait son plaisir.

— Et s’il acceptait que nous nous échangions ? avais-je proposé.
— Alors je serais d’accord. Il peut coucher avec toi, d’une certaine façon cela me fournirait une excuse pour tout ce que nous faisons ensemble. Mais je ne vois pas comment ! Marc est du genre jaloux !

Mais nous avons trouvé un moyen.

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C’est comme cela que le premier janvier, nous avons fait un échange. Marc a accepté que je prenne la place de sa femme et que son épouse aille rejoindre mon mari. Mais lorsqu’ils ont quitté la pièce, il a voulu les suivre.

Tout se serait bien passé si cette satanée lampe n’avait pas décidé de rendre l’âme en laissant dans l’ignorance nos conjoints. Si Louis et Agnès avaient vu cette putain de lampe allumée, alors, Louis surtout, aurait retenu son envie et montré au mari une première fois de sa femme avec un autre homme, plus classique, une baise assez gentillette. Et Agnès aurait eu à cœur de montrer le spectacle d’une épouse un peu dépassée par les événements, faisant reposer sur les épaules de Marc la responsabilité de cet échange, échange qu’il avait accepté, et si elle lui montrait de la jouissance avec un autre c’est parce que cet autre était Louis et qu’il savait en l’espionnant combien cet autre était expérimenté.

Alors je suis persuadée que nous nous serions revus et que le couple serait devenu des invités que nous aurions longuement initiés à ...