1. Jour de l'An


    Datte: 28/09/2022, Catégories: fh, ff, candaul, voisins, sauna, Oral fgode, pénétratio, fsodo, échange, attache, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... ses fesses avec mes mains et je lui bouffe la chatte sans autre forme de procès.
    
    C’est brutal, sans nuance, une façon de lui montrer que je ne suis pas une gouine précieuse comme le sont certaines femmes qui ne jurent que par la délicatesse des femmes, comparée à la rudesse des hommes.
    
    Elle me coule dans la bouche. Il ne m’aura pas fallu longtemps pour la faire jouir, preuve qu’elle était bien motivée. Mais ce n’est qu’une entrée en matière. Je la prends par la main en abandonnait toutes ses affaires dans l’entrée et en même temps, je l’espère, toute résistance.
    
    — On est où ? me demande-t-elle après avoir dit en voyant que l’on allait au sous-sol et non pas dans ma chambre : on va où ?
    — C’est notre lieu secret à Louis et à moi.
    — Mais c’est quoi tout ça ?
    — Je t’expliquerai… Après.
    
    Je la pousse sur le grand lit du centre. Il y a la place pour au moins six personnes.
    
    — Installe-toi.
    
    Elle s’allonge non sans regarder tout autour d’elle, s’attardant sur certains meubles qui ne peuvent que l’intriguer. Je me déshabille sans vraiment attirer son regard. C’est presque frustrant, mais je lui pardonne, car à chaque découverte, elle doit se forger une première idée de ce qui peut se passer dans la pièce. J’avais préparé le gode-ceinture sur le lit, mais elle était tellement intriguée par la pièce qu’elle ne l’a pas vu. C’est lorsque je me penche pour m’en saisir qu’elle le remarque. Alors tout change et elle revient vers moi.
    
    Chacune notre tour, nous suçons le ...
    ... plus petit. Elle me regarde le glisser dans ma fente et en fixer les sangles. Une fois harnachée, je lui donne ce qui est devenu mon mandrin à sucer un peu. Et puis, d’elle-même, elle écarte ses cuisses pour que je m’y place.
    
    Je la possède. Malgré sa belle taille, l’engin trouve facilement son chemin.
    
    Le reste est une succession de plaisir. Je varie les positions. À un moment elle voulait me chevaucher, mais je refuse. C’est moi qui dois mener le jeu. Elle doit se sentir guidée vers son plaisir et me donner le mien lorsque je le demande, ce que je fais en venant m’asseoir sur son visage, m’ouvrant pour que sa bouche, sa langue m’apporte la jouissance bien méritée après l’avoir fait couiner comme la femelle qu’elle est.
    
    Une fois satisfaite, je lui fais visiter la pièce ainsi que l’autre plus « spécialisée » dans le voyeurisme avec le miroir sans tain. Elle comprend que nous sommes « plus » qu’un simple couple libertin et échangiste. Qu’avec certaines invitées et même certains couples, nous organisons, Louis surtout, des soirées où la jouissance n’est pas que physique, mais fait aussi appel à l’imaginaire, les relations de soumissions et tout ce qui peut, avec plus de suggestion que de vraies contraintes, rendre ces moments inoubliables. Inoubliables au point de vouloir les reproduire encore et encore.
    
    À chaque visite, Agnès se libère de plus en plus. Libérée d’un carcan qu’elle s’imposait à elle-même, ignorante de son potentiel. Pour mieux lui expliquer tout ce qui ...