Jour de l'An
Datte: 28/09/2022,
Catégories:
fh,
ff,
candaul,
voisins,
sauna,
Oral
fgode,
pénétratio,
fsodo,
échange,
attache,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... déplaçant mes jambes pour venir les mêler aux siennes dans une harmonie qui mène mon intimité en face de la sienne. Elle comprend, manifestement ce n’est pas un mouvement inconnu. Elle s’allonge en arrière, fait ce qu’il faut pour que ni mes jambes ni les siennes ne contrecarrent mon avancée. Mon avancée, mais aussi la sienne et bientôt nos deux intimités se touchent.
Alors je lui tends les deux mains afin qu’elle s’en saisisse. Ainsi chacune en prenant appui sur l’autre, tirant sur nos bras, peut bouger et se placer afin que… Mon Dieu que c’est bon ! Nos fentes se frottent. Je ne peux retenir un gémissement délicieux. Elle bouge aussi. De passive, elle devient active. La position est fatigante, mais ni elle ni moi ne nous lâchons. Nos lèvres se parlent dans un langage muet, mais ô combien existant. Mon clito sort de sa cachette.
Nous nous regardons, yeux dans les yeux, cherchant dans le regard de l’autre la montée de son plaisir. Elle vit, elle participe, nos intimités se frottent avec délice. Je sens mon plaisir monter. Je suis étonnée de la rapidité, alors que d’habitude il me faut plus de temps. Mais j’ai assez d’expérience dans le sexe pour savoir que le « mental » est un partenaire précieux. Et si c’est le hasard qui a bien fait les choses, je me sens comme une conquérante, une initiatrice qui constate que sa partenaire est une « bonne pâte », facilement entraînable et j’imagine déjà que je pourrais…
Son attitude change alors qu’elle reprend ses esprits. Mais ...
... elle ne peut nier qu’elle a aimé. Heureusement que le sauna est bien isolé phoniquement.
Je la rassure :
— C’était bien, hein ?
— Oui, c’est vrai, mais…
— Mais il n’y a pas de mal à se faire du bien.
J’insiste :
— On pourrait se revoir… Chez moi, ce serait plus confortable… Vendredi après-midi ? je sais que tu n’as pas de cours.
Elle hésite.
— Je ne sais pas si…
— Alors entendu, viens vers 16 h 30. Ça nous laissera le temps avant que nos hommes ne rentrent.
Quelques secondes et puis un :
— D’accord.
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Elle est en retard. Je guette depuis la fenêtre sur la rue.
Enfin elle apparaît. Je sais que j’ai gagné, car elle s’est changée. Elle est tout élégante. Nous les femmes, on se fait belle avec de beaux vêtements alors que l’on sait pertinemment qu’ils vont être les premiers à disparaître.
J’ouvre la porte avant même qu’elle ne sonne. J’ai décidé de ne pas lui laisser le temps de réfléchir. Après le bonjour, dès la porte refermée je l’embrasse. Un baiser d’amante, pas de voisine. Je serre son corps contre le mien. Déjà je la caresse. Elle ne se refuse pas. Sa veste est déjà au sol. Le zip dans le dos de sa robe est une invitation. Voilà, sa robe est à terre. Je la sens impatiente, réactive, elle chasse sa robe d’un coup de pied négligé.
Alors je la libère de sa lingerie. Elle ne proteste pas, pourtant nous sommes toujours dans l’entrée. Je la fais s’appuyer contre le mur en me tournant le dos. Je me glisse sous elle, j’agrippe ...